[Lumière sur]

LA RENCONTRE *

Londres, Paris, Tokyo ; toutes les grandes capitales de ce monde sont secouée par un même tremblement médiatique. On en parle dans tous les journaux du plus petit magazine à minette qui relate les faits comme le nouveau « Secret Story » aux plus grands tel que le Monde qui eux prennent la nouvelle avec beaucoup plus de sérieux. Les chiffres sont cités avec beaucoup de prudence et dans la rue on chuchote qu’il y aurait un millier de participant. Il faut avouer que l’enjeu est énorme, devenir l’héritier(e) d’une aussi grande fortune a dû attirer tous les êtres cupides, vils et intéressés. Mais après tout qui ne l’ai pas ? On s’imagine tous à la tête de la société de la Black Society, non ?

L’heure était à la dernière étape, la plus dure d’après elle. Après avoir subit des heures durant des questions sur son passé, ses occupations, ses loisirs. Après quelques trois cent pages de formulaires à remplir où elle devait avouer jusqu’à son plus petit pêcher – à savoir le chocolat caramel – elle était enfin devant l’imposante porte du bureau de Monsieur Button. Cette fois ce n’était pas les détecteurs de mensonges qu’elle allait devoir affronter mais le PDG de la plus grande société au monde. Elle aurait pu être impressionnée si elle n’était pas aussi angoissée. La secrétaire qui se trouvait derrière un bureau vieillit par les années l’observait avec un petit sourire d’encouragement auquel Rose répondit d’un bref hochement de tête quasi invisible. Elle sortit son poudrier et l’ouvrit d’un geste sec pour retoucher son maquillage. Elle s’observa d’un œil critique dans la petite glace. Ses yeux en amande brillaient d’une excitation mal contenue et la couleur de ses yeux n’en ressortait que plus ; ce qui avait pour effet de rendre son visage encore plus angélique qu’en temps normal. Ses paupières étaient recouvertes d’une fine pellicule de fard havane et elle avait habilement dessiné le contour de ses yeux d’un khôl noir jouant avec la forme allongée de ses yeux pour former des yeux de biches. Elle abaissa le miroir de poche pour vérifier que le blush qu’elle avait appliqué sur ses hautes pommettes était resté en place mais Yves Saint Laurent n’avait rien à se reprocher, la qualité de son maquillage était toujours hautement satisfaisante. Elle étala machinalement une tâche de fond de teint imaginaire sur son nez fin et discret puis enfin appliqua une nouvelle touche de rouge à lèvre d’un pourpre brillant sur sa fine bouche. Non, il n’y avait rien à dire elle était parfaite. Sa main gauche remit en place quelques mèches folles qui s’échappait de la coiffure qu’elle s’était faite quelques heures plus tôt : un chignon sophistiqué assez hauts. Quelques mèches chocolat savamment choisit venaient s’échouer dans sa nuque en une ondulation parfaite. A ses oreilles de belles boucles d’oreilles pendantes serties de cristal se balançaient à chacun de ses mouvements. Elle saisit le pendentif en forme de Rose qui se trouvait au bout d’une chaîne en argent que lui avait offert Chace. Pour une fois encore elle regrettait qu’il ne soit pas là ; elle était tellement habituée à ce qu’il la protège que lorsqu’elle se retrouvait seule elle appréhendait. Peut être que finalement ce sentiment de sécurité qu’elle éprouvait lorsqu’elle était avec lui n’était pas si dérangeant ?

* Oui mais ma belle tu es toute seule là, alors tu prends ton courage à deux mains et tu arrête de faire la demoiselle en détresse *

Sur cette résolution elle claqua son poudrier et le lança dans son sac Dior. Elle était plus que satisfaite de son aspect physique. Elle avait volontairement joué sur son aspect poupée porcelaine mais compté bien faire un contraste saisissant lors de son entretien. Rose voulait prouvée que sa sensibilité et sa chaleur humaine ne serait pas défauts, bien au contraire. Fragilité n’a jamais rimé avec faiblesse. Son caractère était assez fort pour faire plier à ses moindres désirs des actionnaires réticents à mettre leur argent en jeu mais a contrario sa douceur et son charme lui serait d’une grande utilité lorsqu’elle devrait réussir à convaincre des politiciens de lui donner leur feu vert pour actions ayant pour but de faire reconnaître la Black Society dans le monde entier. Elle avait toutes les qualités requises pour faire de Monsieur Button son « père d’adoption ».

« Monsieur Button va vous recevoir dans quelques instants. Veuillez vous avancer jusqu’à la porte s’il vous plait, Mademoiselle Emmerson. »

Rose se leva d’un bond. L’adrénaline circulait déjà dans ses veines aussi pour se calmer, elle se mit à réciter ses tables de multiplication à l’envers tout en jetant un regard dans le miroir de pied qui se trouvait sur sa gauche. Pour renforcer cette allure de barbie innocente, elle avait revêtu une robe signée Prada blanche au décolleté bateau moulant mon buste mettant en avant ses atouts féminins. Une bande bleu venait enserrait sa taille pour mettre en valeur sa taille de guêpe. La robe prenait alors une courbe plus évasée dansant autour des genoux de la demoiselle à chaque mouvement de jambe. Jambes qui se terminaient par de superbes chaussures du même créateur ciré noire au talon vertigineux mais que Rose manié avec une grâce qu’elle seule possédait. A vrai dire elle s’était tellement entraînée pour ne pas tomber des huit centimètres de hauts que possédaient ses chaussures qu’elle avait une aisance que peu de femmes avaient lorsqu’elles les chaussaient. Oui, elle était satisfaite bien qu’anxieuse elle savait qu’elle ne pouvait pas échouer aussi près du but et que de toute façon son plan était infaillible. Il fallait qu’elle apporte à cette société une touche de féminité le reste, elle l’apprendrait aux côtés de Monsieur Button.

Perdue dans ses pensées, elle en fut brusquement tirée par le bruissement de la porte sur le parquet pourquoi parfaitement astiqué. Elle leva les yeux pour croiser un regard dur et déterminé qui était caractéristique au PDG. D’un geste de la main il l’invita à entrer dans le bureau. Elle expira le plus discrètement possible puis, dessinant sur son visage son sourire le plus professionnel ; elle serra la main au vieux – très vieux ( ) – Monsieur Button avant d’entrer dans le bureau, faisant claquer ses talons contre la parquet avec détermination. Elle sortirait gagnante de cet entrevu, et à plus long terme de la grande course à l’héritage dans lequel elle s’apprêtait à se lancer.

[... ]

TOUT EST BIEN QUI COMMENCE BIEN *

Elle en était ressortit vivante. Elle. Rose, 19 ans, Américaine de naissance et temporairement en vacance durant l’année sabbatique qu’elle venait de s’offrir. La discussion avait été rude ; Monsieur Button persuadé d’avoir affaire à un pimbêche sans cervelle avait tenté de la déstabilisée. Comme prévue. Elle lui avait démontré que toute personne haut placé aurait réagit de la même façon que lui. Ce qui faisait pour elle un premier avantage, celui d’être sous-estimé. Depuis sa plus tendre enfance on la considéré comme quelqu’un d’un peu trop fragile qu’on devait ménagé. Faux. Passé les premières envies de meurtres, elle avait sût tourner cela en avantage. Au lycée elle s’était fait un dossier en béton pour intégrer les plus grandes écoles, à la FAC on ne lui prêtait pas attention et c’est ainsi qu’elle a pu sortir première de sa promotion. C’est exactement ce qu’elle lui avait dit. Cependant, loin d’être impressionné il lui avait dit que cela ne suffisait pas. Elle avait simplement hoché la tête, c’était vrai. Une fois prise au sérieux, avait-elle dit, elle pouvait user de son charisme naturel et de sa force de persuasion pour avancer et faire progresser l’entreprise. En outre le fait qu’elle n’avait aucun problème à s’adapter à toute les situation et qu’elle était particulièrement sociable ne gâchait rien à son talent. Grâce à cela elle pouvait sans problème assurer les conférences de presse et la promotion de la société sans se reposer sur un porte parole sortit d’une haute école mais sans la moindre droiture et aisance en public. Monsieur Button était un dur et en dépit de son âge avancé, il était encore plein d’une énergie que secrètement elle lui enviait. Il ne montra aucune marque de sympathie pour la jeune femme mais elle était persuadée qu’elle lui avait plus. Puisque plutôt que de promouvoir uniquement ses qualités elle avait également énumérées ses défauts – en prenant soin de les choisir – et comment elle comptait en tourner certains à son avantage. Somme toute il n’avait pas semblé ébloui mais aucune expression n’avait filtré de son visage apathique. Il était clair que sa chaleur à elle allait apporter de la gaîté à l’entreprise, sans aucun doute.
Elle sortit du luxueux immeuble et se retrouva sur une place bondée de commerçants ou la foule était en constant mouvement. Elle se laissa happé et se mêla à la horde d’inconnu – avec classe – et chercha des yeux un taxi. Dès qu’elle en repéra un, elle le héla et il s’arrêta juste devant elle. Elle indiqua l’adresse de son hôtel au chauffeur qui démarra en trombe. Rose s’installa quant à elle confortablement sur la banquette en cuir de la BMW. Elle sortit son portable et tapota rapidement un texto à Lucy.

« Salut Lucy, je viens de passer mon entretien avec Monsieur Faitpeur, je suis persuadé qu’il a été bluffé. A toi de l’éblouir autant que moi pour qu’on se retrouve en Italie. Je pense à toi <3 »

Rose s’était toujours entendue plus ou moins bien avec tout le monde. Elle n’était pas du genre à chercher la petite bête et aimée beaucoup être accompagné mais avec Lucy c’était autre chose. Elles s’entendaient plus que bien malgré leur récente rencontre. Elle espérée vraiment la retrouver en Toscane et d’ailleurs elle ne doutait pas que Lucy avait tous les atouts pour être qualifiée. Elle était persuadée qu’elle serait prise. Le téléphone vibra. Elle supprima l’accusé de réception puis posa sa tête contre la vitre de la voiture observant les allées et les rue défilés.

[ ... ]

FLASHS BACKS *

« Dit Lucas tu crois qu’un jour tu cesseras de me protéger comme si j’étais une poupée »

Demanda Rose alors qu’elle était allongée sur le ventre dudit Lucas. Elle sentit ses abdos se contracter, signe avant coureur d’un éclat de rire qui ne tarda pas à se faire entendre. La main de son meilleur ami joua avec ses cheveux et il répondit, amusé.

« Non je crois pas. Je m’en voudrais toute ma vie si tu étais blessée parce que je n’ai pas fait attention à toi. Tu es si fragile des fois je me demande comment ça se fait que tu ne t’envoles pas à chaque coup de vent »

Elle soupira, légèrement exaspérée. Lucas – et tous ses amis par ailleurs – semblaient s’être réunit pour jouer les gardes du corps. Cette situation l’amusé au début mais de plus en plus elle trouvait ces attentions de plus en plus ridicule. Elle sentit Lucas qui se redressait, elle se leva d’un bond et rieuse se mit en position de combat.

« Vient si tu l’oses »

Il hésita une demi-seconde et se jeta sur elle comme un prédateur, elle fit un bond sur le côté puis lança son poing dans l’épaule carrée de son meilleur ami. Il rit. Vexée, elle le poussa de toutes ses forces pour le faire rouler. Il riait toujours en se roulant par terre puis se redressa et fit face à Rose qui se remit dans une position de défense.

« Même si tu voulais me faire du mal tu n’y arriverais. Pas avec tes poings du moins. »
« Et avec quoi alors ? «
« Si tu me disais que tu ne m’aimes plus, je crois que j’aurais encore plus mal que si je venais de me faire tabasser par quatre champions de boxe »
« Je ne t’aime plus » répliqua-t-elle l’air bornée

Lucas se jeta sur elle et la mit à taire avant de se mettre à califourchon sur elle pour bloquer toute tentative de fuite. Un sourire des plus ravageurs sur les lèvres il mima un coup droit avant de répliquer

« Menteuse. Tu es touchée »


Rose sourit et d’un bond renversa la position. C’était elle qui était à califourchon maintenant. Soupirant, elle le libéra de son emprise avant de dire, semblant déçut.
« Tu me connais trop bien »

Il la prit dans ses bras pour un câlin, comme le ferait un grand frère. Ils avaient à peine dix ans. Elle était fragile mais avec une répartie des plus impressionnantes. Elle était naïve mais savait faire la part des choses. Elle était sensible mais avec un fort caractère. Elle était douce et tout le monde prenait ça pour de la faiblesse. Elle était chaleureuse et sociable mais surtout déterminé et droite. Et au final, tout ça n’a pas changé.

[Lumière sur]

&& Bienvenue jeune fille
Heureuse de voir que je peux resuciter quelques uns de leur tombe ^.^
Bonne continuation pour la suite [:

[M]

&& Bienvenue jeune fille
Heureuse de voir que je peux resuciter quelques uns de leur tombe ^.^
Bonne continuation pour la suite [:

[Lumière sur]

( Toujours le mot pour rire, Steph .. J'ai ressucité en effet, merci )

***

Neuf ans plus tard, Lucas n’était plus son meilleur ami et elle n’était plus au collège. Mais bel et bien en Fac de droit, elle suivait néanmoins beaucoup de cours d’économie ne sachant pas trop dans quel domaine elle était la plus forte.

« Rose, je ne comprend toujours pourquoi tu t’es inscrite en fac, il y a trop de pression pour toi. Tu vas te faire bouffer par tous ces requins qui veulent sortir premier de la promotion »
« Derick, tu sais j’ai largement les moyens de sortir bien placé aux concours. Et je n’ai pas du tout de pression, t’inquiètes pas pour moi. Le concours est dans deux jours tu ferais mieux de réviser. Et même si je loupe mon concours j’ai suivit toute l’année des cours d’économies je pourrais toujours m’inscrire en prépa »

Elle lui sourit gentiment. Derick était vraiment très sympathique mais il n’avait aucune raison de s’en faire pour elle. Elle était très populaire dans l’amphithéâtre qu’elle partageait avec quelques trois cent autres personnes, elle connaissait aussi pas mal de monde sur le campus. Elle faisait partit du top 5 des plus belles filles de la fac. Ce que tout le monde ignorait c’est qu’elle faisait aussi partit du top 5 des élèves les mieux placés pour sortir premier de la promotion. Et pour cause, elle s’était obligée à avoir des résultats acceptables tout le long de l’année pour n’éveiller aucun soupçon. Elle était passez maîtresse dans l’art de se faire sous estimer par tout le monde, ainsi personne ne venait l’embêter. Parce qu’une des particularités des Fac comme celle qu’elle avait intégrée c’était que tous les bons et très bons élèves en prenait beaucoup sur la gueule pour les déstabiliser et les faire louper leurs concours. Très sociable elle ne voulait avoir personne a dos alors s’était faite passez pour plus bête qu’elle n’était afin de faire une agréable.
« Alors Barbie, prête pour ton examen ? » demanda Kevin
« Je ne sais pas, mais j’ai assez révisé je devrais bien m’en tirer et toi ? » demanda-t-elle en croquant dans une pomme
« Haha … Arrête ils ne prennent que les cinquante premier dans la classe élite, tu n’y arriveras jamais et moi non plus d’ailleurs » Il éclata de rire
« Hum … Peut être, je m’en fiche un peu je prend une année sabbatique l’année prochaine » répondit-elle évasive.
« Tu peux me filer dix dollars ? J’veux allez m’acheter un bouquin »
« Un bouquin, toi ? Arrête de déconner. Tout le monde sait que tu as oublié dans quel sens se tiens un livre » répliqua-t-elle avec sarcasme avant de lui tendre le billet.
Kevin, ne sachant pas trop comment réagir à la provocation, se mit à rire et s’enfuit rapidement.

***

Lendemain de soirée, la tête un peu vaseuse et la maison de papa-maman ( partis en voyage précipitamment ) dans un pitoyable état. Rose venait de fêter son dix neuvième anniversaire et sa réussite au concours de la FAC ( où elle est sortit première à l’étonnement général – sauf le sien. ). Encore un peu endormi, elle se leva néanmoins pour rejoindre le salon afin de téléphoner à une société de nettoyage pour ôter toutes les immondices qui peuplé le sol.
Elle alla dans sa chambre pour s’allonger à nouveau en repensant à la fête exceptionnelle qu’elle avait donnée. On en parlerait pendant longtemps. Beaucoup de monde était venue juste parce qu’elle était populaire même s’ils ne la connaissaient ni d’Eve ni d’Adam mais c’était pas grave l’ambiance n’en avait été que meilleure. Elle se rendormit vite et ne se réveilla que lorsque l’agence de nettoya sonna à la porte quatre heures plus tard.
C’est une semaine plus tard qu’elle tomba sur cette annonce qui changea sa vie. Elle n’hésita presque pas et appela le numéro indiquée pour déposer sa candidature se bénissant de ne pas avoir arrêter les cours d’économie qui lui serait sûrement de très bonne aide pour convaincre de ses qualités. Elle ne se rendait pas encore de l’importance du projet dans lequel elle se lançait.
Elle dû subir de nombreux test psychologiques, questionnements. Elle passa même deux fois au détecteur de mensonges. Ce fut des mois assez éprouvant pour elle tout ce mystère poussé sa curiosité à bout. Elle ne voyait pas la fin de ces interminables test et questionnement jusqu’au jour où elle reçut une convocation pour rencontrer le président. Ce serait lui qui déciderait des quatre-vingt élus qui iraient en Italie.

[***]

Elle sortit de ses pensées lorsque le chauffeur la secoua doucement. Elle lui tendit un billet qui réglait non seulement la course mais lui accordait un généreux pourboire. Elle sortit du véhicule et tapa le code de sécurité qui protégeait l’immeuble. Elle s’engouffra dans l’escalier qui l’emmena au quatrième étage. Elle rentra chez elle et s’allongea dans son sofa. Elle sortit son portable et remarqua deux appels en absence de Riley. Elle soupira, sa propre mère ne l’avait pas appelé mais Riley si. C’était presque agaçant ! En revanche elle appela Chace qui en dépit de son agaçante manie de la surprotégée était quelqu’un qu’elle apprécié vraiment beaucoup. Mais il ne répondait pas, elle reposa le portable et s’endormit, elle était crevée.

[***]

LA COMPETITION PEUT COMMENCER *

Elle y était. Ca y est. Rose était à Specchio Gioco. L’hôtel était renversant d’une beauté hors norme. Elle avait assistée au discours de bienvenue et en même observé les gens autour d’elle. C’était plutôt … hétérogène. Il y avait des personnes de toute sorte de tous continents c’était assez impressionnant. Ce …
Oh ! Son attention fut attirée vers un petit carnet qui se trouvait sur sa table de chevet. Le titre se détaché de loin et ne fit qu’attiser sa curiosité naturelle. Règle du jeu. N’avez-vous jamais vue de titre aussi intriguant ? Elle l’ouvrit sans se formaliser de la douceur du papier. Deux règles ?

Article 1- Il est interdit de céder à ta tentation. Personne ne sera pardonné, ne pas céder au pêché originel qui est en chacun d’entre vous.

Article 2- Il est interdit de s’approcher de la boîte de Bottichelli, mais surtout de pas l’ouvrir.

La Bottichelli ? Qu’était-ce ? Elle l’ignorait. Elle tourna la page et tomba sur un bijou. Une boite à la manufacture des plus riches. Des sillons traversés le bois et chaque détaille semblait anormalement soignée. Elle s’assit sur son lit observant la boite avec délice et une curiosité montante. Elle s’arracha à la contemplation pour réfléchir. Quel raison pouvait pousser quelqu’un à mettre une boite aussi fascinante au vus et aux sues de tous en éditant une règles demandant à ce qu’aucun ne l’ouvre ? C’était bien trop pervers. Il y aurait forcément quelqu’un qui l’ouvrira. Peut être était-ce là le but … Ils parler de Tentation, c’était celle là. Peut être que le plus curieux serait sacrer héritier de Monsieur Button. Ou peut être pas ? De toute façon elle était bien trop fatiguée pour y penser. Elle se changea rapidement avant de s’échouer dans son nouveau lit. Il fallait qu’elle dorme pour que son cerveau assimile tout ce qu’elle venait d’apprendre. Elle mis cependant du temps à s’endormir. La compétition était lancée, elle appréhender un peu la concurrence mais surtout les liens avec les autres personnes. Elle espérait que personne ne la prendrait pour une concurrente sérieuse afin de faire son plan dans l’ombre. Elle était celle qui devait atteindre le sommet. Et quoi qu’il advienne, elle serait nommée héritière de la Black Society. Sur ce, elle s’endormit .

&& Pseudo: Oxymore
&& Âge Réel: J'ai 16 ans, on croirait pas hein
&& Comment avez-vous connu le forum ? GBA
&& En accord avec le texte ci-dessous, vous accepetez les terme du contrat de réservation d'une des chambres de Specchio Gioco.
Signature : Oky By Ele

[Lumière sur]

Rose Emmerson,
Bienvenue parmi nous encore une fois.
Votre fiche est incroyable, le personnage égnimatique et très intéressant.
Je ne trouve rien à re dire sauf un détail: n'oubliez pas que votre pêché capital est en vous, donc il vous suit et il est d'autant plus attisé ici car tout vous conduit à lui..Des lits luxureux pour la paresse te al luxure, des buffets inimaginables pour la gourmandise etc... =D
Il doit donc apparaître dans vos Rp's sinon pour moi vous êtes
VALIDATE
} YOU CAN PLAY

[M]

Rose Emmerson,
Bienvenue parmi nous encore une fois.
Votre fiche est incroyable, le personnage égnimatique et très intéressant.
Je ne trouve rien à re dire sauf un détail: n'oubliez pas que votre pêché capital est en vous, donc il vous suit et il est d'autant plus attisé ici car tout vous conduit à lui..Des lits luxureux pour la paresse te al luxure, des buffets inimaginables pour la gourmandise etc... =D
Il doit donc apparaître dans vos Rp's sinon pour moi vous êtes
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[Lumière sur]

Merci beaucoup, surtout pour la rapidité de validation.
Je n'oublierais pas ce détail dans mes futurs RP
Et encore merci

[Lumière sur]