Specchio Gioco
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Sydney H. Bexter / Visa

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Sydney H. Bexter
Lumière sur Sydney H. Bexter
Age (du perso) : 24 ans
Nombre de messages : 7
Date d'inscription : 30/07/2008


Sydney H. Bexter / Visa Vide
MessageSujet: Sydney H. Bexter / Visa Sydney H. Bexter / Visa Icon_minitimeMer 30 Juil - 17:48

« Tu n’as aucun cœur. Tu n’en as jamais eu, Sydney. »

La réplique avait été prononcée sur un ton extrêmement calme, si maîtrisé qu'il eut pour conséquence d’attirer l’attention exigeante de la concernée. Les yeux d’un bleu agressif quittèrent la petite sculpture sur laquelle ils s’étaient précédemment installés, démontrant ainsi l’intérêt défaillant qu’ils accordaient à leur locuteur. En l’occurrence, locutrice. Lentement, la jeune femme tourna la tête vers sa mère, tandis que son regard imperturbable se plantait d’une manière impudique dans le sien. Leur relation avait toujours été tendue depuis l’adolescence de la Blonde, cette période correspondant à l’édification et à la révélation de son caractère incisif, difficilement prévisible. Avec ses premières modifications corporelles de toutes sortes exigées par l’âge, étaient également apparues les premières vraies disputes avec ses parents habitués jusque là à une fille plutôt malléable sans être pour autant soumise ou docile. Mais c’était surtout avec sa mère que le conflit naissait avec le plus d’aisance. Sydney avait l’habitude et adoptait systématiquement la même stratégie ; tandis qu’un des représentants de l’autorité parentale entamait un long discours véhément, elle, s’enfermait dans un silence irréductible, les deux perles surplombées par ses sourcils fins et gracieux affichant une expression fermée qui paraissait stipuler avec une légère ironie insolente : « Bientôt fini ? C’est pas tout mais, j’ai d’autres choses plus importantes à faire ».

Ce jour-là, la phrase fatidique ordinairement déclarée avec violence et hargne, venait d’être articulée dans un souffle fragile, le type d’essoufflement qui aurait pu trahir la faiblesse d’une machine trop usée par le temps. Dans ce cas là, elle prouvait la profonde lassitude de la personne qui lui faisait face, l’observant avec une mine fourbue. Ainsi, après tant d’années d’acharnement sur son comportement, sur sa personne, après tant de tirades enflammées, son juge commençait à lâcher prise. La première pensée qui lui effleura l’esprit fut celle-ci : « J’ai gagné. ». Le goût délicieux de la victoire grimpa le long de sa gorge, ce qui imbiba ses pupilles d’un orgueil encore plus vif que le précédent. Sydney releva légèrement le menton, faisant osciller les mèches claires qui encadraient son visage presque identique à celui de sa génitrice. Presque. Si on comparait les deux têtes, on avait certes l’impression qu’il s’agissait de la même personne à l’exception que l’une arborait une couronne de cheveux noirs tandis que l’autre possédait une chevelure dorée. Cependant, la différence n’était pas seulement capillaire. Lorsqu’on étudiait le duo, on avait l’impression que Sydney était un modèle retouché d’Andrea, un modèle auquel on aurait gommé les imperfections de celui original, une amélioration, en quelque sorte.

Ses lèvres poupines s’entrouvrirent imperceptiblement, révélant à la lumière d’un rayon de soleil la blancheur de ses incisives qui luisaient doucement. Elle hésita quelques brèves secondes puis se décida. Jamais, elle n’avait pris la parole lors des séances de reproches incessants à son égard, mais en ce début d’après-midi estival, en cette journée marquée par sa gloire, elle allait briser son mutisme arrogant pour rendre son triomphe un peu plus éclatant, sans doute.


« Ce n’est pas parce que tu n’as jamais réussi à l’atteindre qu’il est fictif ».

Après un battement de paupières lourd de satisfaction, Sydney se leva, empoigna son sac qui reposait sagement sur la chaise adjacente à la sienne et quitta la maison de sa mère, laissant cette dernière abasourdie, derrière la table où refroidissaient les restes du repas pour lequel elle avait invité sa fille, prévoyant de passer un bon moment avec elle pendant l’absence de son mari. C’est l’intention qui compte, comme qui dirait, cependant, aussi bonne et volontaire soit-elle, Andrea était incapable de s’empêcher d’entamer une session de critiques envers Sydney qui répondait avec une attitude provocatrice transpirant le « vas-y-cause-toujours-tu-m-intéresses ».

La silhouette haute et, proportionnellement parlant, frôlant la perfection, s’éloignait de la maison à grands pas catégoriques, faisant claquer ses talons autoritaires lorsqu’elle sentit son portable vibrer dans son sac. L’extirpant de son geôlier avec un geste où on pouvait commodément deviner une expérience assurée, elle le porta à son oreille et s’assit sur le rebord du trottoir, prenant une position nonchalante tout en restant élégante.


« Sydney, c’est Ambre. Tu en as entendu parler ? » La voix déformée par l’appareil avait du mal à contenir un enthousiasme authentique.
- Hm ? Je te reconnais bien, là… Toujours aussi radine sur les détails et les explications.
- Allez, fais-moi le plaisir de garder tes sarcasmes pour Fiorella. Bon, visiblement tu as trois trains de retard ! Va tout de suite t’acheter un magasine et rappelle-moi, Gatita.


Intriguée par le coup de fil de son amie, Sydney se remit sur pieds, ramenant la cascade qui ruisselait sur ses épaules en arrière, dégageant sa figure où on pouvait déceler un soupçon d’étonnement contenu. Quelle nouvelle était assez époustouflante pour mettre sa meilleure amie dans un état pareil ? Quel ragot était assez sensationnel pour qu’elle en soit obligatoirement informée ? Il fallait dire que ces temps-ci, la jeune femme avait été très occupée avec son emploi qui exigeait d’elle une disponibilité presque exclusive, alors les derniers potins et autres conneries dans le même style –ce genre d’idioties qu’elle trouvait aussi futiles que dérisoires mais qui passionnaient cependant Ambre-, on pouvait oublier. Sydney était anesthésiste réanimatrice. Cela vous étonne ? Alors sachez que vous n’êtes pas la seule personne déconcertée… Quelques mois plus tôt, alors qu’elle venait tout juste d’obtenir le poste, lorsqu’elle s’était présentée à ses collègues, leurs regards suspicieux ne lui avaient pas échappés. Aujourd’hui encore, le déroulement de leur toute première rencontre était resté très précis dans sa mémoire.

« Sydney H. Bexter, 24 ans. Je suis de nationalité Anglaise mais je parle couramment l’Espagnol ». Le dernier détail était peut-être en trop du point de vue des destinataires, mais la jeune femme estimait qu’ils auraient été de toutes les façons au courant un jour ou l’autre, de plus cette particularité était une fierté et elle n’avait aucune raison de la passer sous silence. Peut-être même l’information se serait révélée utile à l’avenir ? Mais de penser qu’elle annonçait son bilinguisme pour une raison pratique serait une erreur. C’était surtout et exclusivement par pure suffisance.

Fiorella, âgée d’une trentaine d’années, observait avec une minutie hargneuse la petite nouvelle.

-Regarde-la moi celle là. Elle pue la prétention… Avec ce petit air pédant et sa bouche… Vulgaire. Elle fait fort la traînée, elle a une bouche vulgaire !-
Cette constatation muette déclencha chez la trentenaire et future collègue de travail de Sydney un petit rire qui lui échappa. Lorsqu’elle réalisa que tous les regards s’étaient tournés vers sa direction, l’italienne aux cheveux secs se tut et rentra sa tête dans ses épaules, baissant les yeux vers le sol. Elle ressemblait à une petite souris paralysée devant un chat particulièrement menaçant.

« Excusez-moi… Je… J’ai mal dormi cette nuit » Bafouilla-t-elle, ne trouvant pas d’autres explications pour se justifier.

Un sourcil emplit d’une ironie à peine masquée s’arqua au-dessus d’un œil où luisait une moquerie silencieuse mais bien déchiffrable sur le visage de Sydney.

*Ah ? Et depuis quand les insomnies provoquent-elles des crises de fou rire incontrôlables, ma salope ?*
Si la jeune femme ne s’était pas trouvée sur son lieu de travail, lors de sa première journée, sa petite réflexion intérieure ne serait pas restée inaudible bien longtemps, mais, bien qu’osée, elle n’était pas inconsidérée pour autant et savait rester lucide. Le petit épisode de l’hilarité suspecte achevé, l’attention commune se reporta à nouveau sur l’actrice principale de la scène actuelle : Sydney. Tous la dévisageaient avec une incrédulité plus ou moins contenue. Il fallait dire qu’à première vue, la demoiselle ne prêtait pas à penser qu’elle exerçait un métier aussi sérieux et conséquent que celui d’anesthésiste réanimateur. Avec le corps qu’on devinait exquis sous la blouse claire, le haute taille et le visage aux traits finement dessinés, on aurait pu imaginer l’individu en train de défiler aux côtés d’un styliste de renommée mondiale ou encore posant pour des photographes tout aussi connus et réputés. Ce qui était presque choquant chez elle, c’était ses yeux… Les deux pupilles d’un bleu lumineux constellé à plusieurs endroits de pépites d’émeraude, paraissaient déborder d’une énergie perfide qui brûlait quiconque s’aventurait dans les méandres des deux océans acerbes. On pouvait qualifier son regard de… Dérangeant. Mais le détail le plus évident, celui qui sautait tout de suite à la vue de ceux qui la voyaient était l’étrange particularité que dégageait tout son être. Il semblait émaner de la jeune blonde une aura suintante d’un amour-propre excessif, trop présent.


Le klaxon plaintif d’une voiture tira notre jeune fille de ses rêveries, qui s’était dirigée machinalement vers le kiosque le plus proche. Ce fut avec une certaine surprise qu’elle réalisa qu’elle se trouvait devant le vendeur qui semblait la contempler avec un scepticisme certainement déclenché par l’air absent qu’avait arboré la cliente en arrivant jusqu’à son étalage. Frustrée par une telle œillade, Sydney se redressa tandis que l’expression de son visage se durcissait en même temps que ses yeux se clouaient avec irritation dans ceux du vieil homme qui lui faisait face. Coriace, il soutint son regard quelques secondes puis battit en retraite et cligna, comme si les pupilles de la jeune femme venaient d’irriter les siennes. Comblée, elle se détendit légèrement mais conserva son air insolent. La Blonde s’aperçut alors qu’Ambre ne lui avait pas précisé quel magasine acheter.

« Bonjour, n’importe quel magasine s’il vous plaît » Demanda-t-elle d’une voix pressée où perçait un soupçon de brutalité.

Décontenancé, le vieillard fronça les sourcils avant de déclarer :

« Pardon ? »
- Ma requête est on ne peut plus claire, monsieur. D’ailleurs, c’est un grand jour pour vous, alors savourez ce que vous allez faire, je vous en prie. Pour la première fois de votre vie en temps que marchand de journaux, vous n’allez pas vous plier aux ordres d’un client en lui tendant sagement l’article qu’il a choisi. Aujourd’hui, c’est vous qui allez délibérément me donner le magasine de votre choix. C’est sûrement la dernière fois qu’une telle occasion se présente à vous, alors je serai compréhensive si vous ressentez pour moi n’importe quelle forme d’adoration. Ne vous inquiétez pas, je ne vous en voudrai pas et ne vous considérerai pas comme un pauvre type sans avenir, au passé tellement stérile qu’il se retrouve à ce jour condamné à vendre du papier dans la rue, dont le seul ravissement de son existence aura été le fait d’avoir pu un jour agir avec sa propre volonté.


La réplique avait été tranchante, regorgeant d’une raillerie sournoise, d’une fougue fulgurante. Interloqué, l’homme lui tendit un magasine que ses mains étaient allé chercher aveuglément derrière son dos, incapable de quitter des yeux la créature maléfique qui se tenait devant lui. Avant même que Sydney ait pu payer son achat, il lâcha, dans un murmure rauque :

« Disparaissez… »


Mais la jeune demoiselle ne put répondre, hypnotisée par ce qu’elle lisait sur la couverture du petit livret.


***


« Ambre ? C’est moi. C’est quoi ce délire ? »
- Gatita, c’est incroyable, hein ?
- Bon, je vais te laisser, il faut que j’envoie ma candidature, les inscriptions s’achèveront dans une semaine à peine.
- Quoi ? Gatita ! Tu n’imagines même pas tout ce que tu vas devoir endurer ! S’exclama la Portugaise avec effroi.
- Ambre… Répondit Sydney en étouffant un petit rire cristallin, Ambre… Ne me dis pas que ça te fais peur ? Qu’est ce que tu attends pour remplir le formulaire ?
- Sydney, je te l’ai déjà dit mais cette fois, je le pense vraiment : ton audace te perdra, ma grande. Je t’admire à cause d’elle mais, je t’avoue que parfois elle m’inquiète.


***


La Blonde était avachie sur un lit spacieux, le regard éteint dirigé sur le plafond de sa chambre d’hôtel. 1 mois. 1 mois qu’elle avait dû endurer des consultations de toutes sortes, médicales, psychologiques, sportives… Il y en avait eu pour tous les goûts. Chaque journée depuis qu’elle était arrivée en Italie avait été génératrice de sensations fortes, la plus régulière d’entre elles étant le stress. L’angoisse dans les salles d’attente, à examiner avec le plus de discrétion possible les visages des autres candidats afin d’évaluer leurs capacités à travers un visage le plus souvent fiévreux, le tracas embarrassé que causait l’ignorance des épreuves prochaines et à venir… Cependant, malgré l’intensité des émotions, tout au long de son parcours, Sydney avait su gérer ses tourments, affichant en public son éternelle attitude conquérante, son masque fermé qui lui donnait un air intouchable. Rien ne pouvait l’affecter. Du moins, en apparence. Lorsqu’elle rentrait dans sa chambre, un soupir accablé fuyait de ses lèvres bombées et ses mains aux longs doigts graciles venaient masser son front harassé par quelques migraines passagères. De temps à autres, des doutes l’assaillaient, emplissant son être de craintes vives ponctuées de questions qu’elle s’adressait à elle-même. Ces crises d’anxiété devenaient de plus en plus violentes au fur et à mesure qu’approchait la confrontation finale qui scellerait définitivement son destin et son avenir dans l’aventure. Le face à face avec M. Button en personne. Quand le jour inévitable arriva, ce fut avec une allégresse non feinte qu’elle se rendit compte que toutes ses incertitudes à propos de ses chances et de ses compétences s’étaient envolées durant la nuit. Comme si son sommeil avait désinfecter son esprit de tous les parasites qui s’y étaient incrustés. En vérité, c’était tout simplement son impérissable dédain qui reprenait le contrôle. Ni plus ni moins.
*Allons, Gatita. N’oublie pas qui tu es, ce que tu as fait. Tu vas gagner, comme tu l’as fait auparavant avec ta mère. Comment pourrait-il en être autrement ?*


Dernière édition par Sydney H. Bexter le Lun 4 Aoû - 0:28, édité 15 fois
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Sydney H. Bexter
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MessageSujet: Re: Sydney H. Bexter / Visa Sydney H. Bexter / Visa Icon_minitimeMer 30 Juil - 17:48

Au moment où la jeune femme s’était levée de sa chaise, s’apprêtant à quitter le bureau du Boss Button, après un entretien qui s’était déroulé avec une agréable simplicité aux yeux de Sydney qui était persuadée d’avoir fait bonne impression malgré l’air impénétrable du vieil homme, ce dernier la retint d’un imperceptible mouvement de la main qui tressaillait légèrement. La fatigue ? La vieillesse ? Peut-être les deux, en fait. Même s’il répandait autour de lui une impression rude et inflexible qui forçait immédiatement au respect, on voyait aussi que le poids de ses années devenait lourd à porter… Un fardeau. Sydney s’immobilisa, les sourcils subtilement relevés, attendant que son émetteur prenne la parole.

« Il ne peut y avoir de règle dans l'esprit ni dans le cœur des femmes, si le tempérament n'en est d'accord, a écrit un jour le Duc de La Rochefoucauld. Je compte sur vous pour le contredire, car les règles sont les règles. »

Le ton était irrévocable, le regard pénétrant. Décontenancée, Sydney resta quelques instants sans esquisser un seul geste puis s’éloigna du bureau, après un « Au revoir » étrangement enroué. Durant tout le trajet qui la ramenait à sa chambre, la voix de M. Button ne cessait de résonner dans son crâne, comme un avertissement répétitif, entêtant. « Car les règles sont les règles ». Qu’avait-il voulu dire par là ? Quelles règles ? Et pourquoi cette citation apparemment intempestive ? Ce ne fut qu’après avoir refermé la porte que son regard prêta attention pour la première fois depuis son arrivée à un carnet bleu qui trônait sur une des tables de chevet proche du lit. Sur sa couverture, le titre semblait ironique, l’éclat de la lumière paraissait se refléter avec moquerie sur les fils d’or de l’écriture qui traçait « Règles du jeu ». « Car les règles sont les règles »… Gatita recula, prise d’un vertige nauséeux puis s’adossa au mur, ouvrant le petit livre. Ses iris relirent plusieurs fois les deux articles puis elle comprit l’allusion du vieil homme. C’était évident.

La paresse. La gourmandise. La luxure. L’avarice. La colère. L’envie. Et… L’orgueil. Comment ne pas céder au pêché originel qui vivait en elle, présent comme un incendie aux flammes envahissantes ? Comment cesser de se laisser ronger par l’arrogance quand on vit en plein dedans ? Chez Sydney, la présomption n’était pas un accessoire mais bien une manière de vivre. La jeune femme tourna une nouvelle fois les pages et tomba nez à nez sur la photo de la boîte de Botticelli. La vision du coffre lui sauta en plein sur le visage, lui coupant momentanément le souffle. L’objet somptueux avait l’air d’émettre un appel magnétique et hypnotisant. C’était bien plus qu’une boîte et le secret qu’elle conservait, qu’elle préservait des regards indiscrets n’allait pas rester longtemps inconnu de la jeune femme. Elle se le promettait à elle-même. Ainsi elle n’avait ni le droit de s’en approcher ni le droit de l’ouvrir ? C’était une grave erreur d’interdire ces actions… Qui ne savait pas que défendre quelqu’un de quelque chose était de lui donner envie ?

___________________________

&& Pseudo: Chollius/Titoune
&& Âge Réel: 15 ans
&& Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à Max Kirdam I love you
&& En accord avec le texte ci-dessous, vous accepetez les terme du contrat de réservation d'une des chambres de Specchio Gioco.
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Dernière édition par Sydney H. Bexter le Lun 4 Aoû - 0:31, édité 3 fois
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Hope Von der Wardol
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Les dés truqués
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Sydney H. Bexter / Visa Vide
MessageSujet: Re: Sydney H. Bexter / Visa Sydney H. Bexter / Visa Icon_minitimeMer 30 Juil - 18:06

&& Bienvenue jeune fille, en espérant que la fiche ne soit pas une réelle punition ^^, courage pour la suite =].
Nous t'invitons à prendre, en parallèle, une détente au niveau du flood ou de la tchat box quand celle ci est occupée par nos membres, histoire de faire plus ample connaissance Very Happy
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Invité


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MessageSujet: Re: Sydney H. Bexter / Visa Sydney H. Bexter / Visa Icon_minitimeJeu 31 Juil - 0:21

Je la refais après avoir tilté >

Bienvenuuuuuuuuuuuuuue touwa Razz Hihi funky ! Vite vite retrouvailles en RP =D
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Sydney H. Bexter
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Sydney H. Bexter / Visa Vide
MessageSujet: Re: Sydney H. Bexter / Visa Sydney H. Bexter / Visa Icon_minitimeSam 2 Aoû - 19:11

Merci pour l'accueil, Hope Wink
Et, très honnêtement, je prends plaisir à rédiger ma présentation, alors on ne peut pas considérer son écriture comme étant une corvée Very Happy J'ai très bien cerné le personnage de Sydney, alors ça me facilite beaucoup la tâche tongue

Undergroundz I love you Héhé, je finis le plus rapidement possible, poulette Very Happy
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Sydney H. Bexter
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Sydney H. Bexter / Visa Vide
MessageSujet: Re: Sydney H. Bexter / Visa Sydney H. Bexter / Visa Icon_minitimeLun 4 Aoû - 0:31

Vuala c'est fini Very Happy
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Abbygaëlle S. Rey
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MessageSujet: Re: Sydney H. Bexter / Visa Sydney H. Bexter / Visa Icon_minitimeLun 4 Aoû - 1:01

    Ta fiche est agréable à lire, de plus tu as un style particulier =)
    Le personnage est bien cerné, je ne vois pas pourquoi je ne te validerai pas =p

    Validée Miss, et bon séjour dans Specchio...

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MessageSujet: Re: Sydney H. Bexter / Visa Sydney H. Bexter / Visa Icon_minitime

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