[Lumière sur]

I. IDENTITY PASS

Nom: Niotelletchi
Prénom: Agathe : un prénom français que lui a donné sa mère.
Surnom: Pas de surnom, pitié ! Sauf ceux que tu peux me donner quand je te chevauche
Age: 22 ans
Date et le lieu de votre naissance: Le 17 novembre 1988 à Naples
Nationalité : Son père est Italien, sa mère Française mais sur sa carte d'identité, Agathe est Italienne
Emploi : Agathe vend des voitures de sport si chères qu'elle ne gagne pas suffisamment en un an pour s'en acheter une !

II. YEAH, I KNOW, I KINDA ROCKING, DUDE

Caractère: "J'aimerais beaucoup ressembler à ma mère : elle est belle, douce, imaginative, créative, intelligente et si aimante. Pour moi, c'est certainement la femme parfaite. Moi, je tiens plus de mon père. C'est un beau parleur, un séducteur invétéré, difficile à vivre, un poil macho et démesurément ambitieux. Non, je ne suis pas macho et arriviste mais j'ai hérité de sa fâcheuse manie à ne jamais me contenter de ce que j'ai, à toujours vouloir aller voir si l'herbe n'est pas plus verte ailleurs, surtout en amour et à me lancer dans des histoires sans lendemain. J'admire ma mère de parvenir à nous supporter tous les deux. Je ne pourrais pas moi-même, je pense ! Pourquoi ? Parce que vivre avec moi est un vrai calvaire : je déteste avoir tort et adore imposer mon point de vue. Aucun homme ne me supporte longtemps ou plutôt, on me dit que je les dissuade de s'attacher à moi. J'ai peur de m'engager, moi ?! Je ne pense pas trop. Je dirais plutôt que j'attends de trouver ce qu'on appelle mon "âme soeur". Un peu cucul ? Je me fiche de ce que vous pensez et même si beaucoup disent que je me berce d'illusions, je reste persuadée que quand je trouverai l'homme fait pour moi, mon prince charmant, je le saurais. Alors, à quoi bon perdre du temps dans des histoire futiles ? Autant profiter et me contenter du sexe sans me prendre la tête, non ? De toute façon, je suis assez grande pour vivre ma vie sans me soucier de voter avis alors pourquoi je le demande !
Oui, contrairement à ce que beaucoup pensent, je ne suis pas du genre petite fille fragile et influençable. En fait, quand je décide quelque chose, je m'y tiens et me fiche pas mal des remarques des autres. Je suis on ne peut plus fière et du coup, j'assumerai les conséquences de mes actes mais j'ai aussi beaucoup de mal à reconnaître mes torts ou à m'excuser la première. Je déteste être blessée également, alors, je ne me dévoile pas trop et entretient l'image de fille superficielle qu'on se fait de moi. Après tout, personne ne cherche à aller plus loin que la seule apparence. C'est tellement plus réconfortant...
Vous l'aurez compris (ou pas, peut-être), je ne suis pas si bête que je veux bien le laisser entendre. Ce que j'aime le plus en moi ? Mon franc-parler, très certainement. Quand je pense quelque chose, je le dis clairement et je n'y vais pas par quatre chemins. Je ne supporte pas l'hypocrisie ou les gens qui essaient de prendre des gants sans cesse. Rassurez-vous, je ne mords pas pour autant et j'ai même une bonne dose d'humour. Certains même vont jusqu'à dire "un sens de la répartie certain". Peut-être... Je préfère rester humble. Mais il est vrai que j'ai toujours une vision optimiste et presque idéaliste sur tout. On me dit parfois que je suis un peu naïve. Je préfère l'être et penser que l'homme est naturellement bon que d'être une vieille femme qui broie du noir en permanence. C'est d'une meilleure compagnie, j'ai pas raison ?
Enfin, ce que vous devez savoir sur moi, c'est que j'adore m'amuser. Plus que tout. La routine et l'ennui, très peu pour moi ! Il faut que je bouge, que je m'occupe et que je me dépense. Bref, je suis plutôt difficile à tenir. Et puis, lorsque je m'amuse, je vais jusqu'au bout. Quitte à le regretter amèrement le lendemain. Mais ça, c'est une autre histoire..."
Qualités : Il faut bien reconnaître une chose à Agathe, hormis son physique avantageux, c'est qu'elle n'est pas méchante. Certes, il lui est arrivée de blesser des gens voire de briser des couples mais elle ne l'a jamais fait exprès à proprement parler. On pourrait presque dire que tout calcul, manipulation ou désir de vengeance est exclu de son raisonnement. N'abusons tout de même pas, elle est loin d'être un modèle de pureté ! C'est aussi une fille chaleureuse : elle n'est pas Italienne pour rien après tout ! Son sens de l'humour et son rire en ravissent plus d'un : "Avec elle, on ne s'ennuie pas (" résument certains. D'autres vont même jusqu'à dire : "C'est son rire contagieux qui m'a immédiatement séduit". Enfin, c'est une femme à la classe certaine et qui a un sens de l'élégance certain.
Défauts : Qu'est-ce que répondraient à cela les connaissances d'Agathe : "Elle parle, elle parle, elle parle sans arrêt ! Je me demande si en parlant elle parle aussi ? Je peux même pas en placer une, c'est agaçant !" Voilà en général ce que retiennent d'elle ceux qui ne la connaissent que vaguement. Sa mère va même jusqu'à affirmer : "Je n'aurais jamais dû lui apprendre à parler...". D'autres lui reprochent son agitation permanente : "Une vraie pile cette fille ! Je n'ai pas encore trouvé le bouton pour l'arrêter mais en même temps, on peut dire qu'on ne s'ennuie jamais avec elle". Certains aussi l'ont quelque peu cherché et s'y sont piqués, se fiant bêtement à son air angélique et du coup sont un peu amers en ce qui concerne Agathe. "Quelle langue de vipère cette fille !" est la remarque qui revient alors le plus souvent. On va même parfois jusqu'à la taxer de vulgarité puisqu'elle a la fâcheuse habitude de parler cru. La jeune femme est aussi un poil narcissique et a la fâcheuse tendance de chercher son reflet dans toute surface réfléchissante qui s'offre à son regard. Enfin, pour celles qui ont eu la bêtise de lui présenter leur petit ami, les seules paroles qu'elles vous adresseront en ce qui concerne la belle se résumeront à : "Quelle sal*pe ! Si je la tenais cette blondasse, je lui ferais bouffer son sourire à deux balles et la renverrait tout droit chez ses parents". Après tout, elles savaient à quoi s'en tenir : il est de renommée internationale que c'est une séductrice invétérée et surtout que son péché mignon est le sexe.
Physique & Style Vestimentaire: Soyons franc, Agathe est une jolie fille. Ses longs cheveux blonds qui cascadent jusqu'à ses omoplates, son teint frais et ses yeux bleus pétillants lui donnent un air angélique. Plus d'un se damneraient en voyant son visage s'illuminer et ses jolies petites pommettes apparaître lorsqu'elle sourit d'un air charmeur. Mais, il est bien connu que ce les traits fins d'une femme n'intéressent que peu le sexe masculin. Nous allons donc nous concentrer sur l'essentiel pour vous, mes chers messieurs, à savoir le corps de la petite Italienne. Du haut de son petit mètre soixante-deux, Agathe n'est pas spécialement complexée par sa taille : "Si j'étais trop grande, je ne pourrais pas porter des chaussures aussi sublimes !". Oui, les chaussures sont son péché mignon après les hommes, tout de même. Quoi que le mieux reste encore les hommes qui lui offrent des chaussures, mais passons ! Là n'est pas le sujet. Une peau douce et fine, des chevilles fines, des jambes joliment musclées mais loin d'être interminablement longues, des jolies fesses rebondies, un ventre plat, une taille bien dessinée et des mains fines et agiles (surtout pour donner du plaisir aux hommes), le corps de la petite blonde semble vous supplier d'en profiter. Seule hic aux yeux de la jeune femme : ses seins. Elle les trouve bien trop petits et aurait aimé avoir une poitrine un peu plus généreuse. Mais bon, elle sait tirer profit de ses défauts et parvient à les mettre joliment en valeur pour ne pas sembler trop "plate".
Agathe ne passe pas sa vie nue (quoi que ça ne lui déplairait pas outre mesure), alors il me faudra bien vous parler des vêtements qu'elle porte. Vous l'aurez compris, L'accessoire fétiche aux yeux de la jeune femme sont les chaussures. Une passion qu'elle doit certainement tenir de sa mère... Toujours est-il qu'elle en a au total trente-six paires. La belle se tient au fait de la mode : un peu obligé quand on a une génitrice styliste. L'influence maternelle lui a appris une chose : une femme se doit de porter des robes et d'être classe. Aussi vous ne verrez que très rarement la blondinette se contenter d'un simple jean-tee-shirt. Bien trop commun ! Même lorsqu'il s'agit d'aller faire son jogging, elle soignera son apparence : qui sait, elle pourrait très bien rencontrer l'homme de sa vie ! Il ne faudrait pas qu'il ne la remarque pas ! Attention pourtant sachez qu'Agathe déteste une chose : les femmes trop maquillées ! Ainsi, elle préfère se "contenter" d'un fond de teint et du strict minimum en ce qui concerne le maquillage. Les "folies" à savoir trait d'eye-liner, blush sur les joues ou touche de rouge à lèvres sont réservées aux soirées. En ce qui concerne les bijoux, elle n'aime que moyennement le genre "arbre de Noël" et préfère la sobriété et l'originalité à l'abondance de diamants.

• } Tenue de soirée fétiche : "Tout dépend de la soirée, très cher ! J'aime beaucoup porter les créations de ma mère. Des robes, la plupart du temps."
  
• } Tenue que tu n'as jamais osé porter, mais qui ne t'aurais pas déplut : "Alors là je sèche un peu ! Peut-être me déguiser en lapine façon Bridget Jones ? Je le tenterai à la prochaine soirée déguisée, tiens !"
  
• } Tenue prévue pour l'entretien avec M. Button : "Une jolie robe noire cintrée la taille par une grosse ceinture assortie et vernie. Sexy et classe à souhait ! Conseillé par Mme ma Mère, bien entendu."
  
• } Tenue qui ferait fantasmer le personnage si quelqu'un la portait ? Agathe adore mettre en scène ses petits fantasmes : un jour, elle pourra rêver d'un homme déguisé en pompier, le lendemain, craquer volontiers pour un médecin en blouse blanche. Mais, ce qui la rend folle plus que tout c'est un homme dans son plus simple appareil avec un beau corps et surtout bien monté !
  Particularité(s): Surtout pas de tatouages ou de piercing ! Seule "particularité" : une cicatrice sur le ventre puisqu'on lui a retiré son appendicite à l'âge de 10 ans et un drôle de grain de beauté en forme de demi lune au creux du cou.
  

IV. ME, MYSELF AND I

Avatar utilisé: Kristen Bell
Prénom/Surnom: Léa
Age: 19 ans
Sexe: F
Carte de la Chambre: Ok par Diane
Comment avez-vous connu le forum ? Par une demande de partenariat
Des suggestions pour l’améliorer ? Un de mes jouets préférés
Double compte ? Non

Je devais ajouter ma présence de RP et je ne sais plus quoi d'autre. Quelqu'un pourrait-il me le rappeler vu que le message a été effacé ? >.< Merci d'avance !

[N]

I. IDENTITY PASS

Nom: Niotelletchi
Prénom: Agathe : un prénom français que lui a donné sa mère.
Surnom: Pas de surnom, pitié ! Sauf ceux que tu peux me donner quand je te chevauche
Age: 22 ans
Date et le lieu de votre naissance: Le 17 novembre 1988 à Naples
Nationalité : Son père est Italien, sa mère Française mais sur sa carte d'identité, Agathe est Italienne
Emploi : Agathe vend des voitures de sport si chères qu'elle ne gagne pas suffisamment en un an pour s'en acheter une !

II. YEAH, I KNOW, I KINDA ROCKING, DUDE

Caractère: "J'aimerais beaucoup ressembler à ma mère : elle est belle, douce, imaginative, créative, intelligente et si aimante. Pour moi, c'est certainement la femme parfaite. Moi, je tiens plus de mon père. C'est un beau parleur, un séducteur invétéré, difficile à vivre, un poil macho et démesurément ambitieux. Non, je ne suis pas macho et arriviste mais j'ai hérité de sa fâcheuse manie à ne jamais me contenter de ce que j'ai, à toujours vouloir aller voir si l'herbe n'est pas plus verte ailleurs, surtout en amour et à me lancer dans des histoires sans lendemain. J'admire ma mère de parvenir à nous supporter tous les deux. Je ne pourrais pas moi-même, je pense ! Pourquoi ? Parce que vivre avec moi est un vrai calvaire : je déteste avoir tort et adore imposer mon point de vue. Aucun homme ne me supporte longtemps ou plutôt, on me dit que je les dissuade de s'attacher à moi. J'ai peur de m'engager, moi ?! Je ne pense pas trop. Je dirais plutôt que j'attends de trouver ce qu'on appelle mon "âme soeur". Un peu cucul ? Je me fiche de ce que vous pensez et même si beaucoup disent que je me berce d'illusions, je reste persuadée que quand je trouverai l'homme fait pour moi, mon prince charmant, je le saurais. Alors, à quoi bon perdre du temps dans des histoire futiles ? Autant profiter et me contenter du sexe sans me prendre la tête, non ? De toute façon, je suis assez grande pour vivre ma vie sans me soucier de voter avis alors pourquoi je le demande !
Oui, contrairement à ce que beaucoup pensent, je ne suis pas du genre petite fille fragile et influençable. En fait, quand je décide quelque chose, je m'y tiens et me fiche pas mal des remarques des autres. Je suis on ne peut plus fière et du coup, j'assumerai les conséquences de mes actes mais j'ai aussi beaucoup de mal à reconnaître mes torts ou à m'excuser la première. Je déteste être blessée également, alors, je ne me dévoile pas trop et entretient l'image de fille superficielle qu'on se fait de moi. Après tout, personne ne cherche à aller plus loin que la seule apparence. C'est tellement plus réconfortant...
Vous l'aurez compris (ou pas, peut-être), je ne suis pas si bête que je veux bien le laisser entendre. Ce que j'aime le plus en moi ? Mon franc-parler, très certainement. Quand je pense quelque chose, je le dis clairement et je n'y vais pas par quatre chemins. Je ne supporte pas l'hypocrisie ou les gens qui essaient de prendre des gants sans cesse. Rassurez-vous, je ne mords pas pour autant et j'ai même une bonne dose d'humour. Certains même vont jusqu'à dire "un sens de la répartie certain". Peut-être... Je préfère rester humble. Mais il est vrai que j'ai toujours une vision optimiste et presque idéaliste sur tout. On me dit parfois que je suis un peu naïve. Je préfère l'être et penser que l'homme est naturellement bon que d'être une vieille femme qui broie du noir en permanence. C'est d'une meilleure compagnie, j'ai pas raison ?
Enfin, ce que vous devez savoir sur moi, c'est que j'adore m'amuser. Plus que tout. La routine et l'ennui, très peu pour moi ! Il faut que je bouge, que je m'occupe et que je me dépense. Bref, je suis plutôt difficile à tenir. Et puis, lorsque je m'amuse, je vais jusqu'au bout. Quitte à le regretter amèrement le lendemain. Mais ça, c'est une autre histoire..."
Qualités : Il faut bien reconnaître une chose à Agathe, hormis son physique avantageux, c'est qu'elle n'est pas méchante. Certes, il lui est arrivée de blesser des gens voire de briser des couples mais elle ne l'a jamais fait exprès à proprement parler. On pourrait presque dire que tout calcul, manipulation ou désir de vengeance est exclu de son raisonnement. N'abusons tout de même pas, elle est loin d'être un modèle de pureté ! C'est aussi une fille chaleureuse : elle n'est pas Italienne pour rien après tout ! Son sens de l'humour et son rire en ravissent plus d'un : "Avec elle, on ne s'ennuie pas (" résument certains. D'autres vont même jusqu'à dire : "C'est son rire contagieux qui m'a immédiatement séduit". Enfin, c'est une femme à la classe certaine et qui a un sens de l'élégance certain.
Défauts : Qu'est-ce que répondraient à cela les connaissances d'Agathe : "Elle parle, elle parle, elle parle sans arrêt ! Je me demande si en parlant elle parle aussi ? Je peux même pas en placer une, c'est agaçant !" Voilà en général ce que retiennent d'elle ceux qui ne la connaissent que vaguement. Sa mère va même jusqu'à affirmer : "Je n'aurais jamais dû lui apprendre à parler...". D'autres lui reprochent son agitation permanente : "Une vraie pile cette fille ! Je n'ai pas encore trouvé le bouton pour l'arrêter mais en même temps, on peut dire qu'on ne s'ennuie jamais avec elle". Certains aussi l'ont quelque peu cherché et s'y sont piqués, se fiant bêtement à son air angélique et du coup sont un peu amers en ce qui concerne Agathe. "Quelle langue de vipère cette fille !" est la remarque qui revient alors le plus souvent. On va même parfois jusqu'à la taxer de vulgarité puisqu'elle a la fâcheuse habitude de parler cru. La jeune femme est aussi un poil narcissique et a la fâcheuse tendance de chercher son reflet dans toute surface réfléchissante qui s'offre à son regard. Enfin, pour celles qui ont eu la bêtise de lui présenter leur petit ami, les seules paroles qu'elles vous adresseront en ce qui concerne la belle se résumeront à : "Quelle sal*pe ! Si je la tenais cette blondasse, je lui ferais bouffer son sourire à deux balles et la renverrait tout droit chez ses parents". Après tout, elles savaient à quoi s'en tenir : il est de renommée internationale que c'est une séductrice invétérée et surtout que son péché mignon est le sexe.
Physique & Style Vestimentaire: Soyons franc, Agathe est une jolie fille. Ses longs cheveux blonds qui cascadent jusqu'à ses omoplates, son teint frais et ses yeux bleus pétillants lui donnent un air angélique. Plus d'un se damneraient en voyant son visage s'illuminer et ses jolies petites pommettes apparaître lorsqu'elle sourit d'un air charmeur. Mais, il est bien connu que ce les traits fins d'une femme n'intéressent que peu le sexe masculin. Nous allons donc nous concentrer sur l'essentiel pour vous, mes chers messieurs, à savoir le corps de la petite Italienne. Du haut de son petit mètre soixante-deux, Agathe n'est pas spécialement complexée par sa taille : "Si j'étais trop grande, je ne pourrais pas porter des chaussures aussi sublimes !". Oui, les chaussures sont son péché mignon après les hommes, tout de même. Quoi que le mieux reste encore les hommes qui lui offrent des chaussures, mais passons ! Là n'est pas le sujet. Une peau douce et fine, des chevilles fines, des jambes joliment musclées mais loin d'être interminablement longues, des jolies fesses rebondies, un ventre plat, une taille bien dessinée et des mains fines et agiles (surtout pour donner du plaisir aux hommes), le corps de la petite blonde semble vous supplier d'en profiter. Seule hic aux yeux de la jeune femme : ses seins. Elle les trouve bien trop petits et aurait aimé avoir une poitrine un peu plus généreuse. Mais bon, elle sait tirer profit de ses défauts et parvient à les mettre joliment en valeur pour ne pas sembler trop "plate".
Agathe ne passe pas sa vie nue (quoi que ça ne lui déplairait pas outre mesure), alors il me faudra bien vous parler des vêtements qu'elle porte. Vous l'aurez compris, L'accessoire fétiche aux yeux de la jeune femme sont les chaussures. Une passion qu'elle doit certainement tenir de sa mère... Toujours est-il qu'elle en a au total trente-six paires. La belle se tient au fait de la mode : un peu obligé quand on a une génitrice styliste. L'influence maternelle lui a appris une chose : une femme se doit de porter des robes et d'être classe. Aussi vous ne verrez que très rarement la blondinette se contenter d'un simple jean-tee-shirt. Bien trop commun ! Même lorsqu'il s'agit d'aller faire son jogging, elle soignera son apparence : qui sait, elle pourrait très bien rencontrer l'homme de sa vie ! Il ne faudrait pas qu'il ne la remarque pas ! Attention pourtant sachez qu'Agathe déteste une chose : les femmes trop maquillées ! Ainsi, elle préfère se "contenter" d'un fond de teint et du strict minimum en ce qui concerne le maquillage. Les "folies" à savoir trait d'eye-liner, blush sur les joues ou touche de rouge à lèvres sont réservées aux soirées. En ce qui concerne les bijoux, elle n'aime que moyennement le genre "arbre de Noël" et préfère la sobriété et l'originalité à l'abondance de diamants.

• } Tenue de soirée fétiche : "Tout dépend de la soirée, très cher ! J'aime beaucoup porter les créations de ma mère. Des robes, la plupart du temps."
  
• } Tenue que tu n'as jamais osé porter, mais qui ne t'aurais pas déplut : "Alors là je sèche un peu ! Peut-être me déguiser en lapine façon Bridget Jones ? Je le tenterai à la prochaine soirée déguisée, tiens !"
  
• } Tenue prévue pour l'entretien avec M. Button : "Une jolie robe noire cintrée la taille par une grosse ceinture assortie et vernie. Sexy et classe à souhait ! Conseillé par Mme ma Mère, bien entendu."
  
• } Tenue qui ferait fantasmer le personnage si quelqu'un la portait ? Agathe adore mettre en scène ses petits fantasmes : un jour, elle pourra rêver d'un homme déguisé en pompier, le lendemain, craquer volontiers pour un médecin en blouse blanche. Mais, ce qui la rend folle plus que tout c'est un homme dans son plus simple appareil avec un beau corps et surtout bien monté !
  Particularité(s): Surtout pas de tatouages ou de piercing ! Seule "particularité" : une cicatrice sur le ventre puisqu'on lui a retiré son appendicite à l'âge de 10 ans et un drôle de grain de beauté en forme de demi lune au creux du cou.
  

IV. ME, MYSELF AND I

Avatar utilisé: Kristen Bell
Prénom/Surnom: Léa
Age: 19 ans
Sexe: F
Carte de la Chambre: Ok par Diane
Comment avez-vous connu le forum ? Par une demande de partenariat
Des suggestions pour l’améliorer ? Un de mes jouets préférés
Double compte ? Non

Je devais ajouter ma présence de RP et je ne sais plus quoi d'autre. Quelqu'un pourrait-il me le rappeler vu que le message a été effacé ? >.< Merci d'avance !

[Lumière sur]

Bonsoir, la fiche est-elle terminée ?

[M]

Bonsoir, la fiche est-elle terminée ?

[Lumière sur]

Non, pas du tout ! Vous pensez ?! Enfin, j'admets que je n'ai pas mis U.C. Je le fais de ce pas et vous dit dès que j'ai fini. A moins que l'autre Agathe ait terminé ?

[N]

Non, pas du tout ! Vous pensez ?! Enfin, j'admets que je n'ai pas mis U.C. Je le fais de ce pas et vous dit dès que j'ai fini. A moins que l'autre Agathe ait terminé ?

[Lumière sur]

Non mais on ne sait jamais =], c'est vrai que l'absence de "U.C" m'a fait étrange.
De toute façon nous devrons départager entre les deux fiches, ce ne sera pas la prmeière remporte le poste :]

[M]

Non mais on ne sait jamais =], c'est vrai que l'absence de "U.C" m'a fait étrange.
De toute façon nous devrons départager entre les deux fiches, ce ne sera pas la prmeière remporte le poste :]

[Lumière sur]

Bonjour ! Ma fiche n'avance plus depuis quelques jours pour une raison simple : je sèche complètement, j'ai les idées mais je ne parviens pas à tourner tout cela comme je le voudrais... Donc je voudrais vous demander une faveur : est-ce que je pourrais changer de mode de présentation (fiche classique) ? Si pas possible, alors je vais faire mon maximum et le plus vite possible >.<
Encore désolée et merci d'avance =)

[N]

Bonjour ! Ma fiche n'avance plus depuis quelques jours pour une raison simple : je sèche complètement, j'ai les idées mais je ne parviens pas à tourner tout cela comme je le voudrais... Donc je voudrais vous demander une faveur : est-ce que je pourrais changer de mode de présentation (fiche classique) ? Si pas possible, alors je vais faire mon maximum et le plus vite possible >.<
Encore désolée et merci d'avance =)

[Lumière sur]

Mais bien sûr =] Je t'en prie, perso je préfère les Rps mais si tu es plus à l'aise avec les fiches classiques je t'en prie ^.^

[s]

Mais bien sûr =] Je t'en prie, perso je préfère les Rps mais si tu es plus à l'aise avec les fiches classiques je t'en prie ^.^

[Honey]

Mais bien sûr =] Je t'en prie, perso je préfère les Rps mais si tu es plus à l'aise avec les fiches classiques je t'en prie ^.^

[Lumière sur]

Bah disons que je pense que ça sera plus rapide et avec ma semaine chargée qui s'annonce, j'aimerais finir ma fiche aujourd'hui =) Merci beaucoup donc ^^

[N]

Bah disons que je pense que ça sera plus rapide et avec ma semaine chargée qui s'annonce, j'aimerais finir ma fiche aujourd'hui =) Merci beaucoup donc ^^

[Lumière sur]

III. MY LIFE, MY PART

Histoire: "Mon histoire ? C'est vaste, comme terme, pour moi qui ait à peine 22 ans, vous ne pensez pas ? Soit, je vais tout vous livrer en tâchant de ne pas tomber dans la psychanalyse ou le mélodramatique pour autant. Commençons par le commencement : ma famille. Je suis fille unique et il faut avouer que j'ai toujours été au centre des préoccupations de mes parents. Mon père est Cesare Niotteletchi, un riche avocat et ma mère, Laura a quitté la France pour l'Italie il y a trente ans de cela parce qu'elle avait été recrutée par un créateur. Elle est styliste et a lancé sa marque il y a dix ans maintenant. Le succès n'a pas été au rendez-vous au départ mais aujourd'hui, elle a sa petite réputation et, personnellement, j'adore ses créations. Mais nous ne sommes pas là pour nous attarder sur le succès de mes parents et bien sur le chemin que j'ai parcouru jusqu'à aujourd'hui. Lorsque ma mère a rencontré mon père, elle avait 25 ans, lui, 12 ans de plus. Ça a été le coup de foudre d'après leurs dires et ils se sont mariés six mois plus tard. Et moi, j'ai pointé mon petit nez quatre ans après.
A partir de là, je pense que je ne me suis pas distinguée des autres filles de mon âge. Pas de problème de santé ou d'enfance malheureuse à signaler. Non, au contraire j'ai même été on ne peut plus choyer, moi, leur fille unique et chérie adorée. Bizarrement je n'ai jamais été capricieuse pour autant : sûrement parce que mon père était bien trop strict pour me laisser faire. Outre mes géniteurs, une personne a occupé une place centrale dans mon enfance : ma grand-mère paternelle, Amelia, qui vivait avec nous. Vous voyez les stéréotypes des mamas italiennes ? Elle tout craché ! Un mythe incarné ! Et ses pâtes... un délice ! Mais ses talents culinaires n'étaient pas la raison de mon attachement à elle. Avec une femme si chaleureuse, il semble presque normal de s'attacher mais je pense, sans vouloir être méchante, que le fait qu'elle ait vécu avec nous depuis toujours a beaucoup joué. Vous savez un peu comme on s'attache à un animal de compagnie. Sauf que là elle parlait, me consolait et me faisait rire quand elle sermonnait mon père. Je parle au passé parce qu'elle est morte quand j'avais 12 ans. Un cancer des os qui s'est rapidement propagé. Elle a souffert pendant un an et je pense que son décès a été vu comme un soulagement pour tout le monde.
Enfin bref ! Je ne vais pas vous faire broyer du noir ! De quoi pourrions-nous parler ? De ma scolarité, tiens ! J'ai été une élève moyenne de tout temps. En même temps, on ne m'a jamais poussé à l'excellence et je n'ai jamais été très studieuse. Pour moi les études étaient synonymes de perte de temps. D'ailleurs, on ne peut pas dire que je m'illustre par un cursus scolaire exceptionnel ou de grands diplômes. Je me suis contentée du strict minimum et j'ai atterri dans cette concession automobile faute de mieux. C'est déjà pas mal vous me répondrez certainement. Et oui, j'ai la chance d'avoir l'art de forcer quelque peu le destin. D'ailleurs si je n'avais pas ce culot à toute épreuve, pourquoi aurais-je postulé dans cette course à l'héritage ? Et surtout, surtout, comment aurais-je pu faire partie de cette poignée d'élus qui réside désormais à Florence ? Bon choix, soit dit en passant : la plus belle ville du monde, Florence ! Et très certainement un signe du destin !
Mais passons, passons. Mieux vaut ne pas m'encourager à parler de la beauté de mon pays, on y passerait la nuit. Venons en à ce qui en intéresse plus d'un : comment suis-je arrivée ici ? Mais moi je vous dirais comment aurais-je pu ne pas y arriver ? Je m'en souviens encore : une immense campagne de publicité appelait à se porter candidat pour hériter potentiellement de je ne sais même plus combien millions de dollars. Personne n'allait passer à côté. Alors, plutôt que de jouer au loto comme beaucoup, j'ai répondu à cette annonce. Le calcul était vite fait, s'il fallait se distinguer, j'avais plus de chances de toucher le gros lot, non ? Bien entendu, ça ne s'est pas arrêté là : j'ai passé ensuite des entretiens aux intitulés divers et variés. "Entretiens de personnalité" mais aussi de "motivation", de "mise en situation" ou encore, mon préféré "de confrontation aux enjeux de la réalité socio-professionnelle". Bref, que des noms tarabiscotés inventés par des commerciaux dans le seul but d'effrayer les postulants au titre d'héritier de M. Button. J'ai dû vraiment réussir cette puisque, quelques semaines plus tard, j'ai reçu une lettre m'informant en grande pompe que j'avais la chance de figurer sur la liste de personnes potentiellement intéressantes. Je devais me rendre dans un hôtel de Florence au nom célèbre. Même dans mes rêves les plus fous je n'aurais pu y mettre les pieds ! Enfin, à moins de trouver un amant riche...
Bien sûr, folle de joie, j'en informe mes parents. Leur réaction n'a pas été aussi démonstrative que ce que j'avais imaginé. Un peu vexés que je leur ai caché ce projet tout d'abord, ils m'ont rapidement assaillie de ces fameuses questions qui font douter les plus déterminés. Le pire a encore été mon père : il ne comprenait pas pourquoi je voulais devenir une riche héritière. Ma famille ne me suffisait pas, peut-être ? Il m'a bien fait rire quand il a dit ça : ambitieux comme il l'est, il me reprochait d'être attirée par tous ces millions ? Paradoxale ! Enfin, ça lui a passé à présent même s'il reste quelque peu sensible quand on aborde ce sujet.
Je suis donc arrivée à Specchio Gioco en même temps que de nombreuses personnes. Tous beaux et jeunes. Le vieux ne voulait pas avoir honte de sa descendance de toute évidence ! Le bon plan quand même que voici : choisir un enfant déjà fini ! L'hôtel quant ) lui était tout simplement époustouflant. Je me sentais totalement banale et transparente au milieu du hall, en attendant qu'on me remette la clé de ma chambre. La n°301, au troisième étage donc, tout pour me plaire en fait : en hauteur mais pas trop non plus. Je voulais monter mais un groom se mit en travers de mon chemin : porter mes valises ?! Avec plaisir ! Je lui ai donc confié la lourde tâche de trimballer mes bagages. J'ai rapidement franchi le seuil de la porte de l'endroit où j'allais logé pendant un moment (du moins, je l'espère) et je crois que je n'avais jamais dormi dans tant de luxe à la fois. Même l'arrière-grand tante de ma mère, cette snob, avec son appartement de 300 mètres carrés en plein Paris ne rivalisait pas. Sous le charme, je glissait un billet dans la main que le groom me tendait. Je ne sais même plus combien je lui ai donné mais j'allais être nourrie, logée et blanchie gratuitement pour quelques semaines alors je pouvais me permettre d'être généreuse ! Il partit donc et je m'apprêtais enfin à m'extasier devant les équipements dernier cri qui composaient ma chambre quand quelque chose attira mon regard. Un carnet. Je l'ai ouvert dans un élan de curiosité. Il s'agissait du règlement de mon séjour en quelque sorte. Deux articles : ne pas céder à la tentation et ne pas ouvrir la boîte de... Boticchelli. Qu'est-ce que c'est vous vous demandez ? L'agence de marketing à l'origine de ce dépliant luxueux avait pensé à tout : il suffisait de tourner la page. C'était donc une boîte. Démesurément belle et qui, bien sûr appelle à être ouverte. Comme la boîte de Pandore. Mais, comme sa copine de l'Antiquité, elle doit renfermer un malheur terrible. Force de cette pensée, et pour mieux "résister à la tentation" j'ai jeté la photographie de cette maudite boîte. Bien entendu, elle trône royalement, sans surveillance apparente, dans un des salons de l'hôtel. J'évite autant que possible de m'y aventurer même si je ne suis pas du genre curieuse. J'applique juste le principe de précaution.
En ce qui concerne l'autre partie du règlement... DIsons que j'ai vite compris que le "péché originelle en moi" était la luxure. Mais, qui, je vous le demande, peut se passer de sexe à 22 ans à peine ? Pas moi alors, si je suis discrète, ça compte ?"

Relations:


"Gabrielle ! On s'est tout de suite entendues elle et moi. Que voulez-vous, bien que nos intérêts soient bien distincts (elle le chocolat, moi le sexe), on a toutes les deux le même franc-parler qui en dérange parfois beaucoup. Notre capacité de partir dans des délires sans nom nous fait parfois passer pour deux folles ou deux pré-adolescentes hystériques mais, je vais vous avouer un truc : on se fout pas mal de votre avis !"

"Abbygaëlle. Quel nom horrible, vous ne trouvez pas ? Tout comme elle d'ailleurs ! Cette petite pimbêche ne me supporte pas et c'est réciproque. Quand on se croise, ça chauffe. On en a presque oublié pourquoi. Très certainement à cause de Chace, le seul qui parvient à nous persuader de rentrer nos griffes."

"Lui c'est Chace. Il est pas mal, non ? J'en ferais bien mon dessert... S'il n'y avait pas cette fichue Abbygaëlle qui lui rôdait sans cesse autour et se mettait sans cesse au travers de mon chemin. C'est bête pour elle, je suis du genre têtue alors j'aurais Chace ! Mais en même temps, s'il pouvait décider tout simplement, il nous éviterait bien des peines."

"Ah ! Anthony ! Lui et moi, on fonctionne pareil. Je m'amusais bien avec lui. Oui, j'utilise le passé parce que le beau responsable du sauna (ça l'arrange pour mater, avouons-le) semble bouder depuis que j'ai eu la malencontreuse idée d'"échanger" les rôles dans l'une de nos parties de jeux de rôles sexuels. Sans entrer dans les détails, il n'a que moyennement apprécié mon idée de lui faire porter un legging léopard. Mais depuis, je vais beaucoup plus souvent au sauna. Comme ça je serai plus près s'il a besoin de moi !"

"Mickaël est mon passe-temps favori en ce moment. Vous aimez ses yeux ? Alors je dois vous avouer que le reste est à la hauteur de son regard azur ! Mais passons, il m'amuse bien. Du moins, tant qu'Anthony continue à faire sa tête de mule."

"Amber est notre charmante réceptionniste de nuit. Dans un hôtel de luxe, le client est plus que jamais roi, non ? Alors pourquoi cette idiote râle quand je l'appelle au milieu de la nuit pour exiger des fraises, du champagne ou un bon dessert ? Il faut qu'elle fasse attention à ne pas me chercher, elle risque de me trouver..."

"Andy Burrows... J'aime bien être avec lui. Bizarrement, sa seule présence m'apaise. Pas besoin d'aller plus loin que le simple fait qu'il me prenne dans ses bras. Et puis, l'instant d'après, ça m'énerve et je réagis au quart de tour. Ça le fait bien rire et ça me met hors de moi ! Mais je l'apprécie énormément quand même..."

[N]

III. MY LIFE, MY PART

Histoire: "Mon histoire ? C'est vaste, comme terme, pour moi qui ait à peine 22 ans, vous ne pensez pas ? Soit, je vais tout vous livrer en tâchant de ne pas tomber dans la psychanalyse ou le mélodramatique pour autant. Commençons par le commencement : ma famille. Je suis fille unique et il faut avouer que j'ai toujours été au centre des préoccupations de mes parents. Mon père est Cesare Niotteletchi, un riche avocat et ma mère, Laura a quitté la France pour l'Italie il y a trente ans de cela parce qu'elle avait été recrutée par un créateur. Elle est styliste et a lancé sa marque il y a dix ans maintenant. Le succès n'a pas été au rendez-vous au départ mais aujourd'hui, elle a sa petite réputation et, personnellement, j'adore ses créations. Mais nous ne sommes pas là pour nous attarder sur le succès de mes parents et bien sur le chemin que j'ai parcouru jusqu'à aujourd'hui. Lorsque ma mère a rencontré mon père, elle avait 25 ans, lui, 12 ans de plus. Ça a été le coup de foudre d'après leurs dires et ils se sont mariés six mois plus tard. Et moi, j'ai pointé mon petit nez quatre ans après.
A partir de là, je pense que je ne me suis pas distinguée des autres filles de mon âge. Pas de problème de santé ou d'enfance malheureuse à signaler. Non, au contraire j'ai même été on ne peut plus choyer, moi, leur fille unique et chérie adorée. Bizarrement je n'ai jamais été capricieuse pour autant : sûrement parce que mon père était bien trop strict pour me laisser faire. Outre mes géniteurs, une personne a occupé une place centrale dans mon enfance : ma grand-mère paternelle, Amelia, qui vivait avec nous. Vous voyez les stéréotypes des mamas italiennes ? Elle tout craché ! Un mythe incarné ! Et ses pâtes... un délice ! Mais ses talents culinaires n'étaient pas la raison de mon attachement à elle. Avec une femme si chaleureuse, il semble presque normal de s'attacher mais je pense, sans vouloir être méchante, que le fait qu'elle ait vécu avec nous depuis toujours a beaucoup joué. Vous savez un peu comme on s'attache à un animal de compagnie. Sauf que là elle parlait, me consolait et me faisait rire quand elle sermonnait mon père. Je parle au passé parce qu'elle est morte quand j'avais 12 ans. Un cancer des os qui s'est rapidement propagé. Elle a souffert pendant un an et je pense que son décès a été vu comme un soulagement pour tout le monde.
Enfin bref ! Je ne vais pas vous faire broyer du noir ! De quoi pourrions-nous parler ? De ma scolarité, tiens ! J'ai été une élève moyenne de tout temps. En même temps, on ne m'a jamais poussé à l'excellence et je n'ai jamais été très studieuse. Pour moi les études étaient synonymes de perte de temps. D'ailleurs, on ne peut pas dire que je m'illustre par un cursus scolaire exceptionnel ou de grands diplômes. Je me suis contentée du strict minimum et j'ai atterri dans cette concession automobile faute de mieux. C'est déjà pas mal vous me répondrez certainement. Et oui, j'ai la chance d'avoir l'art de forcer quelque peu le destin. D'ailleurs si je n'avais pas ce culot à toute épreuve, pourquoi aurais-je postulé dans cette course à l'héritage ? Et surtout, surtout, comment aurais-je pu faire partie de cette poignée d'élus qui réside désormais à Florence ? Bon choix, soit dit en passant : la plus belle ville du monde, Florence ! Et très certainement un signe du destin !
Mais passons, passons. Mieux vaut ne pas m'encourager à parler de la beauté de mon pays, on y passerait la nuit. Venons en à ce qui en intéresse plus d'un : comment suis-je arrivée ici ? Mais moi je vous dirais comment aurais-je pu ne pas y arriver ? Je m'en souviens encore : une immense campagne de publicité appelait à se porter candidat pour hériter potentiellement de je ne sais même plus combien millions de dollars. Personne n'allait passer à côté. Alors, plutôt que de jouer au loto comme beaucoup, j'ai répondu à cette annonce. Le calcul était vite fait, s'il fallait se distinguer, j'avais plus de chances de toucher le gros lot, non ? Bien entendu, ça ne s'est pas arrêté là : j'ai passé ensuite des entretiens aux intitulés divers et variés. "Entretiens de personnalité" mais aussi de "motivation", de "mise en situation" ou encore, mon préféré "de confrontation aux enjeux de la réalité socio-professionnelle". Bref, que des noms tarabiscotés inventés par des commerciaux dans le seul but d'effrayer les postulants au titre d'héritier de M. Button. J'ai dû vraiment réussir cette puisque, quelques semaines plus tard, j'ai reçu une lettre m'informant en grande pompe que j'avais la chance de figurer sur la liste de personnes potentiellement intéressantes. Je devais me rendre dans un hôtel de Florence au nom célèbre. Même dans mes rêves les plus fous je n'aurais pu y mettre les pieds ! Enfin, à moins de trouver un amant riche...
Bien sûr, folle de joie, j'en informe mes parents. Leur réaction n'a pas été aussi démonstrative que ce que j'avais imaginé. Un peu vexés que je leur ai caché ce projet tout d'abord, ils m'ont rapidement assaillie de ces fameuses questions qui font douter les plus déterminés. Le pire a encore été mon père : il ne comprenait pas pourquoi je voulais devenir une riche héritière. Ma famille ne me suffisait pas, peut-être ? Il m'a bien fait rire quand il a dit ça : ambitieux comme il l'est, il me reprochait d'être attirée par tous ces millions ? Paradoxale ! Enfin, ça lui a passé à présent même s'il reste quelque peu sensible quand on aborde ce sujet.
Je suis donc arrivée à Specchio Gioco en même temps que de nombreuses personnes. Tous beaux et jeunes. Le vieux ne voulait pas avoir honte de sa descendance de toute évidence ! Le bon plan quand même que voici : choisir un enfant déjà fini ! L'hôtel quant ) lui était tout simplement époustouflant. Je me sentais totalement banale et transparente au milieu du hall, en attendant qu'on me remette la clé de ma chambre. La n°301, au troisième étage donc, tout pour me plaire en fait : en hauteur mais pas trop non plus. Je voulais monter mais un groom se mit en travers de mon chemin : porter mes valises ?! Avec plaisir ! Je lui ai donc confié la lourde tâche de trimballer mes bagages. J'ai rapidement franchi le seuil de la porte de l'endroit où j'allais logé pendant un moment (du moins, je l'espère) et je crois que je n'avais jamais dormi dans tant de luxe à la fois. Même l'arrière-grand tante de ma mère, cette snob, avec son appartement de 300 mètres carrés en plein Paris ne rivalisait pas. Sous le charme, je glissait un billet dans la main que le groom me tendait. Je ne sais même plus combien je lui ai donné mais j'allais être nourrie, logée et blanchie gratuitement pour quelques semaines alors je pouvais me permettre d'être généreuse ! Il partit donc et je m'apprêtais enfin à m'extasier devant les équipements dernier cri qui composaient ma chambre quand quelque chose attira mon regard. Un carnet. Je l'ai ouvert dans un élan de curiosité. Il s'agissait du règlement de mon séjour en quelque sorte. Deux articles : ne pas céder à la tentation et ne pas ouvrir la boîte de... Boticchelli. Qu'est-ce que c'est vous vous demandez ? L'agence de marketing à l'origine de ce dépliant luxueux avait pensé à tout : il suffisait de tourner la page. C'était donc une boîte. Démesurément belle et qui, bien sûr appelle à être ouverte. Comme la boîte de Pandore. Mais, comme sa copine de l'Antiquité, elle doit renfermer un malheur terrible. Force de cette pensée, et pour mieux "résister à la tentation" j'ai jeté la photographie de cette maudite boîte. Bien entendu, elle trône royalement, sans surveillance apparente, dans un des salons de l'hôtel. J'évite autant que possible de m'y aventurer même si je ne suis pas du genre curieuse. J'applique juste le principe de précaution.
En ce qui concerne l'autre partie du règlement... DIsons que j'ai vite compris que le "péché originelle en moi" était la luxure. Mais, qui, je vous le demande, peut se passer de sexe à 22 ans à peine ? Pas moi alors, si je suis discrète, ça compte ?"

Relations:


"Gabrielle ! On s'est tout de suite entendues elle et moi. Que voulez-vous, bien que nos intérêts soient bien distincts (elle le chocolat, moi le sexe), on a toutes les deux le même franc-parler qui en dérange parfois beaucoup. Notre capacité de partir dans des délires sans nom nous fait parfois passer pour deux folles ou deux pré-adolescentes hystériques mais, je vais vous avouer un truc : on se fout pas mal de votre avis !"

"Abbygaëlle. Quel nom horrible, vous ne trouvez pas ? Tout comme elle d'ailleurs ! Cette petite pimbêche ne me supporte pas et c'est réciproque. Quand on se croise, ça chauffe. On en a presque oublié pourquoi. Très certainement à cause de Chace, le seul qui parvient à nous persuader de rentrer nos griffes."

"Lui c'est Chace. Il est pas mal, non ? J'en ferais bien mon dessert... S'il n'y avait pas cette fichue Abbygaëlle qui lui rôdait sans cesse autour et se mettait sans cesse au travers de mon chemin. C'est bête pour elle, je suis du genre têtue alors j'aurais Chace ! Mais en même temps, s'il pouvait décider tout simplement, il nous éviterait bien des peines."

"Ah ! Anthony ! Lui et moi, on fonctionne pareil. Je m'amusais bien avec lui. Oui, j'utilise le passé parce que le beau responsable du sauna (ça l'arrange pour mater, avouons-le) semble bouder depuis que j'ai eu la malencontreuse idée d'"échanger" les rôles dans l'une de nos parties de jeux de rôles sexuels. Sans entrer dans les détails, il n'a que moyennement apprécié mon idée de lui faire porter un legging léopard. Mais depuis, je vais beaucoup plus souvent au sauna. Comme ça je serai plus près s'il a besoin de moi !"

"Mickaël est mon passe-temps favori en ce moment. Vous aimez ses yeux ? Alors je dois vous avouer que le reste est à la hauteur de son regard azur ! Mais passons, il m'amuse bien. Du moins, tant qu'Anthony continue à faire sa tête de mule."

"Amber est notre charmante réceptionniste de nuit. Dans un hôtel de luxe, le client est plus que jamais roi, non ? Alors pourquoi cette idiote râle quand je l'appelle au milieu de la nuit pour exiger des fraises, du champagne ou un bon dessert ? Il faut qu'elle fasse attention à ne pas me chercher, elle risque de me trouver..."

"Andy Burrows... J'aime bien être avec lui. Bizarrement, sa seule présence m'apaise. Pas besoin d'aller plus loin que le simple fait qu'il me prenne dans ses bras. Et puis, l'instant d'après, ça m'énerve et je réagis au quart de tour. Ça le fait bien rire et ça me met hors de moi ! Mais je l'apprécie énormément quand même..."

[Lumière sur]

Bienvenue sur Specchio

[Lumière sur]

Merci =)

[N]

Merci =)

[Lumière sur]

Bienvenue parmi nous.
Pour ma part, ta présentation me va très bien et à dire vrai... les autres Agathe ne se sont pas manifestées! Bon si ça ne te gêne pas j'attendrai une journée voir si l'autre demoiselle se manifeste sinon le rôle est à toi.

[crocs et griffes]

Bienvenue parmi nous.
Pour ma part, ta présentation me va très bien et à dire vrai... les autres Agathe ne se sont pas manifestées! Bon si ça ne te gêne pas j'attendrai une journée voir si l'autre demoiselle se manifeste sinon le rôle est à toi.

[Lumière sur]

Merci et ça me gène pas du tout, pas d'inquiétudes !

[N]

Merci et ça me gène pas du tout, pas d'inquiétudes !

[Lumière sur]

Pas de nouvelles de l'autre demoiselle...
Nous t'accordons ce rôle avec grand plaisir!
N'hésite pas à poster dans les lieux adéquates pour le début et demander conseil en mp si besoin.
Nous t'encourageons bien sur à participer à la semaine des 1000mots.

Fiche validée!

[crocs et griffes]

Pas de nouvelles de l'autre demoiselle...
Nous t'accordons ce rôle avec grand plaisir!
N'hésite pas à poster dans les lieux adéquates pour le début et demander conseil en mp si besoin.
Nous t'encourageons bien sur à participer à la semaine des 1000mots.

Fiche validée!

[Lumière sur]

Bienvenue sur Specchio

[Lumière sur]

=) Merci beaucoup !
Pour la semaine des 1000 mots, je vais m'y inscrire de ce pas

[N]

=) Merci beaucoup !
Pour la semaine des 1000 mots, je vais m'y inscrire de ce pas

[Lumière sur]