[Lumière sur]

Money isn't the most important thing in the world. Love is.
Fortunately, I love money.

"Qu'on parle de moi en bien ou en mal peut importe... Tant qu'on parle de moi."

I. IDENTITY PASS

Nom: "Mon nom? Voyons, honey, il est bien simple. C'est Wardolf. Wardolf Peterson, pour être précis... Retenez le bien, le Wardolf, pas le Peterson, oubliez le Peterson. Je disais quoi déjà? Ah oui! Retenez bien la première partie de mon nom de famille déjà si célèbre. Vous verrez, il vous sera très utile pour vous faire une réputation en clamant que vous me connaissez... Bientôt, très bientôt."
Prénom: "Aaaah... mon prénom... C'est le moment que je préfère. C'est vrai quoi, généralement, ça casse bien l'espérance de mes interlocuteurs, qui pensent avoir trouver une fille sobre, calme, posée, douce et amicale dans ce monde de fou. Il parrait qu'il reflète très bien ma personnalitée...comme on dit déjà? Ah oui! versatile. Bref, je m'appelle Hell, ou enfer, dans ma langue maternelle. Encore une chose très importante qu'il vous faudra retenir de moi. Je m'appelle Hell Cassandre, mais je préfère seulement m'introduir comme étant "Hell", en faisant abstraction du nom de famille et du deuxième prénom. Cela fait plus mystérieux, je trouve. Plus captivant aussi. Bref, Hell est le nom parfait."
Surnom: "Des surnoms? Moi? Oui, vous avez bel et bien tapper dans le mille. Pourtant, la longue liste des surnoms que je porte serait excessivement longue. Rassurez-vous, "Cruella" n'en fait pas parti, je le déteste d'ailleurs... J'aia rien d'une méchante de dessin-animé avec un goût gravement douteux. Il y a donc les surnoms que les mecs me donne, comme "honey", "darling", "bébé", "babe", "mon coeur", "mon amour", "hon'","la mia bella", "mon ange" (surnom que, soit dit en passant, je déteste... Est-ce flatteur d'être comparer à une chose sans organes génitaux?)... Bref, vous l'aurez compris, la liste est longue, très longue. Presque aussi longue que celle dont m'ont affublé les "pauvres" filles à qui j'ai eu lla bonne idée de "voler" leurs petits-amis... Ou alors celles qui viennent d'apprendre la tromperie, au choix. Mais, le surnom que j'apprécie le plus est celui de mon enfance, "princesse", en toute simplicité. Quoi? Comment ça, ça fait prétencieuse? Regarde moi un quart de seconde et tu comprendra. Et non, je ne veux pas de commentaire sur ces idiotes que je fais pleuré, chaque jours. Elles n'avaient qu'a avoir plus de sein ou rester dans leur bac-à-sable."
Age: "J'ai vingt-deux ans, vous le croyez, ça? Bah oui... Je sais, à m'entendre parler, on dire une gamine de cinq ans qui passe du coq à l'âne sans raison et est des plus impulsives. ça fait partit de mon charme d'ailleurs. Et faite moi confiance quand je vous affrime que je n'ai pourtant rien d'une gamine de cinq ans. Brek... Les gosses, non merci! C'est puant et ça braille tout le temps. Cela nuirait trop à ma beauté. Ah? Une rapport? Non, il y en a aucun. Je trouvais juste que ça sonnait bien, pas vous?"
Date et le lieu de votre naissance: "Je suis née le 15 novembre, et suis donc scorpion, je sais, ça ne se voit pas. Vous vous doutez que, pour une Wardolf, seul l'hôpital le plus Uppé et le plus cher de la belle ville de Londres pouvait être l'endroit de ma naissance."
Nationalité : "Alala... Mes origines... Les gens trouvent cela compliqué, quand je leur explique. Moi je ne trouve pas. Je suis britannique et américaine, avec du sang norvégien de ma grand mère paternelle, une pointe de sang italien du côté de ma mère, du sang français par mon arrière-arrière grand père paternel, il me semble aussi avoir quelques origines Irlandaise et Autrichienne, du côté de ma mère, cette fois-ci. Je continu? En résumer, je suis un grand melting-pot d'origines, et cela me va très bien. Un jour, je suis Autrichienne, l'autre Française, le suivant Américaine...Cela laisse des tas de possibilité."
Emploi : "J'ai étudier le droit internationnal et le marketing à Oxford, sur le voeux de mon père. Cela me laisse donc la possibilité de reprendre l'Empire famillial, comme il le voudrait. Malheureusement, ce n'est pas dans mon intention et, depuis quelque temps, j'ai commencer une carrière de mannequin, passant dans divers casting pour les films. Je veux du bling, des strass, des paillettes, pouvoir être sous le feux des projecteurs... pas m'enfermer dans un bureau ternes et gris!"

II. YEAH, I KNOW, I KINDA ROCKING, DUDE

Caractère: "Je crois que c'est la partie que je préfère, de ce petit questionnaire. Elle semble tellement hilarante! C'est vrai, comment voulez-vous que je décrive la complexité de mon caractère bien trempé? Même à moi, elle m'échappe. Okay, les gens ont plutôt tendance à me voir comme une blondasse canon, naïve et facile à manipuler. Ils pensent que je suis complètement stupide et que je crois tout ce qu'ils me racontent. Certains vont même jusqu'a me faire l'affront de me traîter de "fille facile". C'est faux! Je ne suis pas une "fille facile", j'aime juste m'adonné aux différents plaisirs éphémères. Vous l'aurez deviner, s'il y a un pêcher capital qui habite en moi, c'est bien la luxure. Okay... En théorie, ils me représentent presque tous. Je suis parasseuse, orgueileuse, colérique,gourmande, envieuse et j'aime les plaisirs charnel... Mais je crois que c'est ce dernier qui est le plus flagrant.
La vérité, c'est que j'ai du mal à résister aux tentations de toutes sorte. Pourquoi je souhaite devenir héritére, alors? Tout simplement car je vois ici le moyen de m'amuser. Que se sera drôle, de forcer les autres à briser les règles pour moi. Bon, ok, mon paternel (encore et toujours lui!) voit le moyen de me résonner, de me faire devenir meilleure, moins tentée. Mais si je céde à la tentation je n'aime que trop la provoquée. J'aime me sentir admirée dans la rue, j'aime savoir que les hommes me voient comme un bout de chair et que je fais monté en eux une désir charnel, j'aime boire, j'aime faire la fête, j'aime la mode (il faut croire que je suis une fashion victime pas excellence), j'aime dépenser sans compter (même pour quelque chose d'inutile ou que j'ai déjà. Lorsque je veux un trucs, c'est simple, je l'achète, même si je ne m'en sert jaimais), j'aime être à la fois une femme-enfant et la pire des tigresse. Vous le pensez! Je suis quelqu'un de plus dangereux, réfléchit, logique et calculateur que le laisse paraitre ma bouille d'ange. Je suis loin d'être idiote, il parrait même que je suis un véritable petit géni en informatique.
Vous l'avez remarqué, je parle beaucoup, sans m'arrêter, de choses et d'autres, je ris d'un rire cristallin et envoûteur, je continu de parler. Parfois, je noie les gens dans un flot de parole et d'information diverses n'ayant aucun rapport entre elles. Les psycologues disent que c'est car j'ai peur de la réaction des gens, que je cherche à masquer mon malaise, que je suis instable. Je ne crois pas, au contraire, je les embobine tous. C'est vrai, à force de m'écouter, comment discerné le vrai du faux? Si cela se trouve, je vous raconte des craques depuis le début et je ne suis qu'une prostituée espagnole sans le sou qui cherche à faire fortune...
Je vous rassure, ce n'est pas le cas.
Avant toute chose, je ne mens jamais (je suis même d'une franchise déconcertante et à l'état le plus pur)...sauf quand ça m'arrange. Et puis, dissimuler, ce n'est pas mentir.
Bien qu'étant franche, je ne suis pas honnête. C'est fou, les paradoxes, n'est-ce pas? Je ne suis pas honnête. Les mots "compassion", "compréhension", "générosité", "gentillesse", "honneur" et "honnêteté" sont banni de mon vocabulaire. C'est simple, 'connais pas.
Vous l'aurez aussi remarquer, cela saute aux yeux, en plus d'être d'une versatilité sans faille, je suis aussi sans gêne et sans aucun scruppule. S'il avait fallu vendre mon corps pour pouvoir rentrez dans cette course à l'héritage, je l'aurais fait sans problème... et j'aurais donné ma famille en cadeau.
Je vous demanderais de ne pas vous méprendre. Je ne suis pas cruelle et sans coeur (bon, d'accord, je le suis, mais là n'est pas la question...enfin...si, un peu...), je suis juste réaliste. La méchanceté et le sadisme sont des plus naturels chez moi.
Malgré tout, je reste souriante et excessivement sociable. J'ai toujours été sociable... Et très rancunière, même si je ne laisse rien parraitre. Je cours après plus de gloire et de fortune que je n'en ai déjà... Plutôt étrange, je sais, mais je veux toujours plus... Et je veux tout, tout de suite. Je suis impatiente et on me croit grande gueule et impulsive.
Souvenez-vous bien que tout se que je dis est calculé, réfléchi et ce au millimètre près. Je sais sur quel ton le dire, je sais me faire candide, doucereuse, joviale, suave, envoûtante, mystérieuse, magnétique, captivante. Je sais aussi quel geste faire, à qui sourire, à qui me vendre. Je suis la manipulation née. Même plus, je suis machiavélique, diabolique. Les gens ne le pense pas, quand ils me voient.
En plus d'être tout cela, je suis excessivement perverse, j'aime jouer au chat et à la sourie. Je me plais à croire que personne ne me résiste. En sera-t-il de même ici? Peut importe. Si je suis là, c'est pour être la nouvelle héritière. Faite moi confiance, je ferais tout pour y arriver."
Qualités: "Mes qualités? Est-ce qu'une plasitque parfaite et suave, ça compte? Non? Dommage. Il va falloir que je me foulle un peu plus...Comme je l'ai dit, je suis loin d'être idiote, même si je ne le laisse pas parraitre. Je suis une très bonne actrice. Je n'ai pas de scruppule, dans un contexte comme celui-ci, il se peut que cela soit une qualité. Non? Je suis aussi douée pour tout ce qui est artistique: danse, chant et j'en passe... Beaucoup douteront que cela soit d'une grande utilité ici. Pas moi. Je trouve toujours comment usé de mes qualités. Notament de celle de jouer avec les apparences, que je métrise à merveille. Dieux, que j'aime jouer les filles naïves alors qu'en fait, je n'en pense pas moi. Lorsqu'on porte un masque, on captive bien plus et on cerne plus vite la personnalité des gens. Je suis aussi douée d'un sens de l'intuition assez grand. Je n'irais pas jusqu'a le dire infaillible mais tout de même. Je suis aussi souriante et sociable...A un certain point, évidement."
Défaults: "Je crois que mon plus grand défaut se résume en un mot: "tentation"... Autant dans le sens 'je me laisse tenté' que dans le sens 'je tente les autres'. Je suis orgeuilleuse, fière, chieuze, colérique, capricieuse, compliquée. Je parle trop, parrait-il, mais cela n'a jamais déranger les gens. Généralement, ils aiment m'écouter parler, pensant que je leur débite toute la vérité, me trahissant parfois moi-même, ce qui est totalement faux. Depuis que je suis rentrée ici, je vire de plus en plus paranoïaque, à essayer de réssister aux tentations. Je suis aussi très curieuse. La boîte de Bottichelli? Oui, bien sûr, elle m'intrigue.Cela doit sûrement accentué mes délires paranoiaque. On pari combien qu'elle est vide? Oui, vide. Cela doit être purement et simplement un autre truc pour tester notre résistance à la tentation. Quelque chose pour désigner l'héritier.Autant vous dire que je préfère me tenir de cet objet de malheur. Loin des yeux, loin du coeur. Et hop, comme ça, je suis sûre de ne pas être discréditée. Cela serait trop bête de renoncer à l'héritage pour une sordide boîte probablement vide... Ou alors, peut être que quelqu'un peut l'ouvrir pour moi...
Pour en revenir à mes défauts, je suis versatile, instable. Un coup à gauche, un coup à droite. Un jour je dis noir, l'autre je dis blanc, puis je change pour du rouge sang. Je suis imprévisible."
Physique & Style Vestimentaire: "Vous voulez vraiment une description de ma plastique de rêve? Bon... Avant tout, les mots clés, c'est "plastique de rêve"..? Et pour en arrivé à ce point, tout à été bon...des régimes à la chirurgie plastique. Qui a dit que la perfection devait être naturelle? Pas moi, en tout cas.
Comme vous l'aurez devinez, je suis blonde. Mes cheveux blond ressemblent plus à la crinière d'un lion qu'a une chevelure banale. Ils sont sauvages, ont du volume, sont soyeux et doux. Ils m'arrive jusqu'en bas de mes reins, chatouillant le bas de mon dos, et sont soit lisses, soit frisés, soit ondulés (leur style naturel). Ma peau ne tranche pas avec cette tignasse, mais la prolonge. En effet, mon teint est laiteux et légèrement rosé grâce au fard que j'applique chaque matin, à en faire pâlir Marie Antoinette elle-même. Mon visage est de forme plutôt ovale, tendant légèrement vers le carré. Mes yeux sont veron, mais tout deux pâles et envoûteur. L'un est d'un vert jaune rappelant celui des chats, l'autre est bleu, comme le ciel et l'océan. Tout deux sont brillant de vie et de malice. Mes traits sont fin, comme en harmonie parfaite avec le reste de mon physique. J'ai un petit nez fin et légèrement retroussé et deux lèvres relativement pulpeuses (comment ça, du collagène?). Je suis plutôt grande et très mince, comme toute bonne mannequin, mais heureusement pour moi, je ne suis pas encore tombée dans l'anorexie. Ce serait un comble, pour une amatrice de chocolat blanc aux amandes! Bref, ma taille est plutôt fine mais je ne suis pas le moins du monde dépourvue de forme. Mes formes... Elles sont suaves, avantageuses. Oui, cela veut dire que mon décolté est bien rempli (oui, vous avez mit le doigt sur l'une des mes parties que j'ai modifié sur le billard). Mes jambes sont fines, grandes, et mes pieds sont plutôt fins. Je n'irais pas jusqu'a les dire petits mais ils sont fins. J'adapte donc mon style vestimentaire à l'inpression que je veux dégagée, en restant classe et sexy quoi que je porte. J'ai, bien évidement, une préférence pour les vêtements de créateur (puisque je peux m'en offrir, autant en abuser!). Bon, j'ai une préférance pour les fringues moulantes et masquant le moins possible de chair, mais je sais porter de tout. Mes cheveux sont toujours coiffés, même si cela ne se voit pas, et je suis toujours maquillée (certain trouve que c'est à l'outrance, je pense qu'ils sont juste jaloux). Bref, j'ai un style qu'on pourrait trouvé sur plein de fille de riche, certes, mais moi, j'ai ce petit plus qui s'appelle magnétisme et que fait que ce que je porte semble n'être fait que pour moi."

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• } Tenue de soirée fétiche :"Hum... Autant vous avouez qu'elle change tout le temps, en fonction de mes humeurs. Je dirais ma petite robe bustier Gucci que j'adore tant, qui est près du corps et assez courte. Elle est de couleur nacre. Avec, je porte généralement des sandales Jimmy Choo à talon aguilles, divers bijoux, un sac à main Channel ou Dior et un châle en soie blanc."
  
  
• } Tenue que tu n'as jamais osé porter, mais qui ne t'aurais pas déplut : "La robe bleu pétante aux immenses smiley jaunes, avec des lunettes junes fluo et des claquettes noires et du vernis rose et vert fluo... J'ai d'ailleur cette tenue dans mon dresing, mais je ne l'ai jamais mise."
  
  
• } Tenue prévue pour l'entretien avec M. Button : "J'ai jouer sur la sobriété. Ainsi,j'ai opter pour un tailleur noir relativement cours, des bas résille (je n'ai pas pu résister), des escarpins de cuir noir, veston noir plutôt court que j'ai légèrement boutoné, un sac à main de cuir noir. Je ne portais pas de T-shirt mais shuut... Personne ne s'en est aperçu. Enfin, je crois..."
  
  
• } Tenue qui ferait fantasmer le personnage si quelqu'un la portait ? "Je vous ai déjà parler du string léopard pour homme que j'avais acheter, sur un coup de folie? Non... Et bien c'est le moment où je vous en parle. Pour agrémenté le tout, un débardeur à résille et un fouet serait du plus grand effet... Mais je fantasme aussi, plus généralement, sur les hommes en costume négligé... et sur ceux complètement nu, trempés d'eau... Faut-il que j'en dise plus ou en ai-je déjà trop dit?"
  Particularité(s): "Si je vous avoue que j'ai des grains de beauté formant la constellation de Ptolémée à un endroit très significatif, cela influencera-t-il votre jugement? Cela améliorera-t-il votre vie? Je ne pense pas. Tant pis, je l'ai déjà dit."
  

III. MY LIFE, MY PART

Histoire: "Mes parents se sont rencontré lors dans un aréoport. Ma mère, Nancy Jane Peterson, était actrice et rentrait du tournage de son dernier films. Mon père, William Henry Wardolf, était un grand homme d'affaire britannique ayant une fortune personnelle immense et se rendant à New-York pour un congrès. Ils se rencontrèrent donc à la cafétéria de l'aréoport de Londres, leur avion ayant du retard ils se mirent à bavarder. Je sais, rencontre classique, sans grand intérêt..."
-Nancy, calme-toi, tu parle de cela comme si c'était une mauvaise chose!
-Comment voudrais-tu que je me calme?
En se réveillant se matin là (qui était un matin comme les autres sur Londres), la belle Nancy c'était retrouvée prise de nausées. Ce fût ainsi toute la journée jusqu'a ce que l'actrice, cédant et acceptant le fait qu'elle puisse être malade, se décide à aller voir un médecin. Fraîchement débarquée de New York City, où elle avait fait quelques études de politique et d'économie, la jeune actrice c'était installée à Londres pour son travail et, il y a quelque temps, après avoir trop bu, avait eut une aventure d'une nuit avec son ex-compagnon qu'elle détestait à présent, William Wardolf.
Quel fût la surprise de la jeune femme lorsque le médecin lui annonça l'affreuse nouvelle qui allait changer sa vie: elle était enceinte.C'était tout simplement affreux, invivable, impensable.
La belle s'était donc précipitée chez William pour lui annoncer la "mauvaise" nouvelle et son avortement prochain. L'homme, lui, ne l'entendait pas de cette oreille. Un avortement tacherait sa réputation et il n'avait pas besoin de cela. Nancy fût forcée de garder l'enfant, après qu'il lui ait versé une copieuse forme d'argent.

Les neuf mois qui suivirent furent un enfer, tant pour l'actrice que pour le père du futur enfant. Enfin, la petite Hell naquît, un soir de novembre ou il pleuvait drû sur Londres, dans l'hôpital le plus cher et le plus coûteux de la ville. Tous attendait un garçon, se fût une fille.
En la prenant dans ses bras, Nancy ne ressentit absolument rien. Elle n'aimait pas cette gamine qui brallait, lui avait fait déformer son corps et avait ruiner sa carrière. Pourtant, elle resta avec cette fille qu'elle haïssait et qu'on avait bâptiser Hell. Elle resta avec William... Tout simplement pour son image. Oui, les parents de Hell ne se marièrent pas par amour mais pas intêret et popularité. Bel exemple pour la gamine, non?

La petite Hell grandit, ayant toutes sortes de nounous (des Polonaises, des Coréenes, des Japonnaises, des Françaises, des Russes, des Danoises, des Italiennes, des Espagnoles, des Américaines, des Brésiliennes...). Le bébé qu'elle était ne comprennait pas, ne recevant aucun amour de la part de sa mère, toujours abscente et très peu d'amour de la part de son paternel, qui la trouvait de plus en plus encombrante.

La gamine grandit, fille unique, étant traînée de force aux fêtes chez les amis de ses parents. Elle avait ce que les autres appelait 'une enfance idilyque'. C'est bien simple, quand elle voulait quelque chose, elle le prennait. Point. Les gens s'extasiaient devant sa beauté de poupée barbie et ses airs angélique. Ils disaient qu'elle irait loin.

Et puis, les gens cessèrent de s'extasier. Ils ne voyaient plus son père et sa mère ensemble, ils les voyaient hcacun de leur côté. Lorsque Hell venait vers eux pour leur montrer ses dessins qu'ils adoraient d'habitude, les amis de ses parents lui donnait une poupée qu'ils avaient acheter pour elle et lui disaient d'aller jouer.
C'était comme ça qu'on m'entait à une gamine: On l'achetait. On la corrompait. Avec Hell, ce n'était pas bien difficile.

Et puis, la sentance tomba, comme prévisible. Nancy et William ne s'aimaient plus (s'étaient-ils jamais aimer?). Le divorce était irréversible.

Autant vous dire que le divorce soudain de ses parents ne choqua pas Hell, qui continuait à avoir un train de vie mondain. Bien au contraire... Bon, d'accord, ses parents ne se battèrent pas pour avoir sa garde, et elle finit chez son père, c'est d'ailleurs pour cela qu'elle n'est pas proche de sa mère aujourd'hui... mais et alors? Un divorce, cela arrive non?

Bon, j'avoue, cela fit faire à Hell une grande révision sur ce qu'était le verbe "aimer"... mais elle en revînt au même point. Elle aimait son père... Elle l'aimait pour ce qu'il lui apportait, pas parce que c'était son père.

Pourtant, un jour, son père l'emena voir un grand monsieur en costume qui sentait le cigare et le parfum pour ascenceur. Il appelait ça un "psycologue". Le "psycologue" était dans un grand bureau, il ne cessait de posé des questions à Hell. La gamine restait sagement assise sur son siège, droite comme un piquet, les yeux rivés vers la feuille de papier en face d'elle, dessinant, sans prêtter plus d'attention à l'homme et à son père. Les premiers mots qu'elle dit furent:

"Regardez! Regardez mon dessin!"

Et le psycologue regarda, demanda à William de sortir. Il recommença à parler à la petite, lui demandant à quoi elle pensait. Cette fois-ci, la réponse fût immédiate.

"Je pense que c'est moche ici et que j'aimerais bien partir."

Enfin, après avoir vomit la vérité, la gamine blonde se leva, se mettant à "ranger" le bureau de l'homme tout en répondant enfin à ses questions, sans y répondre vraiment puisqu'elle se contentait de palrer en faisant abstraction des questions, en les contournant même. Parfois elle y répondait, parfois pas. Un coup à droite, un coup à gauche.

Le psycologue ne tarda pas à décelé chez Hell une instabilité peu commune pour une enfant, et un manque apparent d'attention que la petite blonde niait.

"Mais bien sûr que mon père m'aime. C'est juste qu'il a pas le temps."

Et puis, au cours de la scéance, elle parla aussi d'un "ils". Ce "ils", la gamine ne le définissait pas. C'était tout le monde et personne à la fois. Elle n'était pas folle, le psycologue avait bien compris que le "ils" n'était pas dans sa tête. Pour elle, "ils" étaient réel. "Ils", c'était le monde entier, ce qu'on attendait d'elle. Cet épisode marqua la blonde au fer rouge, bien qu'elle n'en parle pas. Jamais.

Hell grandit.

La belle avait des amis, des petits-amis (dont je ne pourrais faire la liste, de peur qu'elle soit trop longue). Elle était aimée et était traîtée en reine. Que vouloir de plus?

Rien. Hell vivait dans le luxe. Elle était populaire. Elle se mit à boire, à faire la fête, à se vautrer encore plus dans la luxure. Certains type auraient payer pour l'avoir, ne serait-ce qu'une seule nuit... Mais Hell ne choisissait pas n'importe qui. Elle formait une élite, avec sa meilleure amie, Kay, et d'autres amis tels que Dan, Channel, Preston et Brune. Ils étaient populaires, adulés, admirés... Et la plus populaire de tous était la plus mystérieuse, celle au regard bleu insaisissable: Hell. Des tas de rumeurs se mirent à courrir à son sujet: Elle a couché avec un prof, elle a choppé des MST, elle se drogue, elle a été enceinte, et j'en passe. La blonde laissait ses rumeurs sordides courrir, ne démentissant jamais, n'affirmant pas non plus.

C'est alors que Kay "attrapa" un cancer, une tumeur au cerveau. On ne put pas la soigner. Il y eut des complications.

Kay mourrut, dans l'hôpital le plus Uppé de Londres.

Là, se fût le déclic, le début de la déchéance pour chacun des membres du groupe, en particulier pour Hell. La belle avait l'habitude des excès, elle en fit encore plus. Elle commença à se drogué, à devenir alcoolique, à mal tourné... Et on continuait de l'adorer et l'adulée. Elle était, en quelque sorte, une "légende" urbaine.

La légende s'éteignit lorsque, après une overdose, elle se réveilla à l'hôpital de Londres, son père à ses côtés. Les médecins lui dirent alors qu'elle avait fait une overdose médicamenteuse. Qu'elle avait sûrement été violée. Qu'on l'avait tabassé.

Chaque mot des médecins résonnent encore aujourd'hui dans la tête blonde de Hell London Anderson.

"Mademoiselle, vous auriez put mourir."

Cela fait mal, d'entendre cela par un médecin...Mais Hell supposait que c'était son job, après tout.

Lorsqu'on la laissa sortir, son père rentra dans une colère noire contre elle, comme si la blonde n'avait pas assez souffert. Il lui dit qu'elle n'était qu'une honte, qu'elle avait ruiner sa vie encore plus que si Jillian avait avorter. Il tenut des propos affreux, la traintant de traînée, et l'envoya dormir...et Hell pleurait, pleurait, de pleurs intarissables.

Le lendemain, son père l'envoya en cure de désintoxication, lui refusant l'accès à chez elle tant qu'elle n'était pas sobre. Autant vous dire que, depuis qu'elle est sortie de cette cure, la blonde ne l'a jamais été. Mais son père le croyait dûr comme fer, alors c'était bon. Il l'envoya à Oxford, se mettant à diriger sa vie, comme si c'était mieux pour elle.

La jeune fille se rebella et se fit repérée par une agence de mannequin dans la rue. Elle commença une carrière dans la mode, cherchant à percé dans le cinéma. On l'envoya en Italie pour un contrat avec une grande boîte de stylisme et c'est là qu'elle entendu parlé de l'héritage, par un coup de fils de son père qui lui 'ordonna' de se rendre dans cet hôtel, pour qu'elle devienne indépendente et raisonnée. La belle se jetta donc à l'eau.

"Quand j'ai entendu parler de cette histoire d'héritage, je me suis dit "C'est ma chance!" et je la saisit. Mon père et moi, on attend pas du tout la même chose de cet hôtel. Mais, vu que c'est moi qui y suis et pas lui, je suis bien décidée à en profiter à fond... Malgré les interdictions."

Relations: "Comment est-ce que je vois mes relations humaines? C'est une question qui demande rélfexion.
je me fiche des gens et me comporte avec eux comme une petite fille avec ses jouets. Quand je veux, je prends, je ne demande jamais d'abord. Pourtant, cela ne semble en aucun cas géné, voir troubler mon monde.
Avec les gens que j'aime, je peux devenir une véritable pourriture, rongée par l'amour que je leur porte, les rongeant à leur tour.
Avec mes "amis", avec lesquels je suis des plus hypocrite, je me comporte tout simplement comme ce qui passe pour "naturel" chez moi.
Par contre, je suis sans pitié avec mes ennemis, faisant mes coups par derrière, plantant des couteaux dans le dos.
Les garçons je passes dessus (ou dessous d'ailleur). Dès qu'un mec me plaît, je ne demande pas, je le prends...Qu'importe qu'il est une petite-amies ou non...Mais que veux-tu chérie...T'es vraiment pas à la hauteur fasse à moi. Oui... je collectionne les conquètes, les histoires d'un soir et autres. C'est "no regret". Je profite des mecs, ne prennant que les meilleurs.. Les mecs, pour moi, sont des jouets... Mais après tout, aucun d'eux ne s'est jamais plein. Il suffit juste qu'ils acceptent que je suis indomptable. Quand à mes "amies", je les choisit très spécifiquement. Il faut que les prétendantes au titre "d'amie" (enfin, plus dame de companie que véritables amies) répondent à des critières bien précis pour faire parti de mon cercle tant convoité ... Et la compétition est rude. Si une des filles ne me convient pas, c'est "Retourne jouer dans ton bac à sable et revient me voir quand tu auras plus de sein"... Bref, je les humilie sans retenue. Seul quelque personnes peuvent prétendrent compter pour moi...Malheureusement, elles sont rares. Il en faut beaucoup pour atteindre mon coeur.
Et puis... Je n'ai qu'a claquer des doigts et 10 prétendants, minimum, accourent en se jettant à mes pieds. Et croyez moi, les garçons, je les choisis minutieusement avec pour seul critère l'argent et le physique. Pourquoi s'enticher d'un seul et unique homme lorsqu'on peu en avoir quatres en une nuit? Ce serait stupide. Ainsi, je suis connue comme étant une "bombe", auprès de la gente masculine. Je passe un bon moment et après, je jette. C'est simple et éfficace. Oui... Je sais me faire, en l'espace de quelque minute, la femme parfaite et idéale... Peux me résistent... Enfin... Ceux qui me résiste sont gays.
Côté famille... En fait, je ne suis pas trop famille. Ils ne sont que les gens avec qui je suis obligée d'avoir les mêmes gênes, c'est tout. Et la génétique, c'est bien peu pour moi."

IV. ME, MYSELF AND I

Avatar utilisé: Kate Bosworth
Prénom/Surnom: Mathilde / Hell' , la fille psycothique, darling
Age: 15 ans
Sexe: F
Carte de la Chambre: richesse
Comment avez-vous connu le forum ? Par un autre forum (Stupi Girls)
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Double compte ? Nope

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Le code est faux mademoiselle. Lisez correctement le règlement & non pas en diagonale sinon vous trouverez jamais =]

[s]

Le code est faux mademoiselle. Lisez correctement le règlement & non pas en diagonale sinon vous trouverez jamais =]

[Honey]

Le code est faux mademoiselle. Lisez correctement le règlement & non pas en diagonale sinon vous trouverez jamais =]

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Fiche modifiée après relecture (et re-relecture xS) du règlement. J'ignore encore si ce code là sera le bon, hésitant entre celui que je viens de mettre et la phrase du tout début "dans la joie et la bonne humeur". Néanmoins, celui que je viens d'ajouter me semble plus viable que j'autre. Je suis désolée du dérangement occasionné ^^"

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Euh miss ... On va pas s'entendre si tu ne lis pas le règlement. Lis le en entier, toutes les phrases, c'est marqué noir sur blanc, ne cherche pas les phrases entre () tu ne trouveras jamais le code ainsi...

[M]

Euh miss ... On va pas s'entendre si tu ne lis pas le règlement. Lis le en entier, toutes les phrases, c'est marqué noir sur blanc, ne cherche pas les phrases entre () tu ne trouveras jamais le code ainsi...

[Lumière sur]

Je suis navrée de causer tant de problèmes ( j'ai l'impression de devenir un véritable boulet, je sais m'en excuser). Malheureusement, que je sache (et cela n'engage, je le sais, que ma propre parole), j'ai bel et bien lut le règlement en entier. Comme vous le savez sûrement, j'ai proposer un premier code, celui écrit "noir sur blanc" en spoiler à la fin du dit règlement et il s'avérait qu'il ne soit pas le bon. J'ai donc rechercher et, à vrai dire, n'en ai pas trouver. J'ai donc essayé celui qui me semblait le plus viable et n'était pas le premier que j'ai donné. Je réessaye à présent le premier, en spoiler, sachant pourtant pértinement que ce ne sera pas le bon. Si vous le permettez, je relirais à tête reposée plus tard le règlement, recherchant encore le code.

[Edit': Code modifié, désolé du 'dérangement']

[Lumière sur]

Tu nous déranges pas =] C'était un peu ma faute, on avait pas remarqué qu'à cause de la panne des serveurs, nos messages édités n'avaient pas été pris en compte, donc c'est à moi de m'excuser.

Pour en revenir à nos moutons, tu as un style agréable à lire à part les confusions entre er/é/és..m'enfin par rapport au reste de la fiche très bien écrit et intéressant c'est très bien donc ce ne sont que des détails.
Je ne trouve rien à redire Hell, le pêché de la luxure donc. Validée avec plaisir ^.^

N'oublie pas de:
- t'amuser
- t'incurter sur le flood
- dire des bêtises ( xDD ) on adore les boulets sympathiques *large sourire*
- Rpger sinon tu es considérée comme membre fantôme :O *vilainne* (a)
- Créer ton agenda / fiche relationnelle etc ... ( Partie Main Menu)
Et surtout de t'inscrire dans une des deux équipes pour gagner la coupe et remporter la première étape.

[M]

Tu nous déranges pas =] C'était un peu ma faute, on avait pas remarqué qu'à cause de la panne des serveurs, nos messages édités n'avaient pas été pris en compte, donc c'est à moi de m'excuser.

Pour en revenir à nos moutons, tu as un style agréable à lire à part les confusions entre er/é/és..m'enfin par rapport au reste de la fiche très bien écrit et intéressant c'est très bien donc ce ne sont que des détails.
Je ne trouve rien à redire Hell, le pêché de la luxure donc. Validée avec plaisir ^.^

N'oublie pas de:
- t'amuser
- t'incurter sur le flood
- dire des bêtises ( xDD ) on adore les boulets sympathiques *large sourire*
- Rpger sinon tu es considérée comme membre fantôme :O *vilainne* (a)
- Créer ton agenda / fiche relationnelle etc ... ( Partie Main Menu)
Et surtout de t'inscrire dans une des deux équipes pour gagner la coupe et remporter la première étape.

[Lumière sur]