Specchio Gioco
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# Goodbye Apathy [Cash/Visa]

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AuteurMessage
Luan Martinez
Lumière sur Luan Martinez
Age (du perso) : 24 ans
Nombre de messages : 159
Pêché Capital : Colère
Date d'inscription : 18/07/2008


#        Goodbye Apathy [Cash/Visa] Vide
MessageSujet: # Goodbye Apathy [Cash/Visa] #        Goodbye Apathy [Cash/Visa] Icon_minitimeVen 18 Juil - 2:07

Le Néant.

« L'amour règne par le délire sur ce ridicule univers. Tantôt aux esprits de travers, il fait rimer de mauvais vers, tantôt il renverse un empire. »
Voltaire.

« Embrasses-moi. »

L’ordre impérieux avait fusé dans l’air, ricoché contre la tapisserie d’une autre époque, claqué telle une gifle la joue hâlée du jeune homme et s’était éteint sur le montant du lit à baldaquin. L’embrasser ? Quelques mois plus tôt, Luan l’aurait repoussé, prétextant une migraine à demi mots avant de la mettre gentiment dehors et d’éclater de rire. Quelques mois plus tôt, il l’aurait pris comme une plaisanterie. Mais les mois avaient passés et elle aussi s’était enfuie. Quel mal y avait-il à succomber aux plaisirs de la chair avec une inconnue ? Aucun maintenant qu’il était libre. Libre. Le mot avait claqué lorsque la porte s’était refermée avec fracas sur elle. Le désespoir. Son absence. Sans tendresse, le jeune homme l’attrapa violemment par la nuque, scellant de ses lèvres son secret. Hope. Son prénom vint mourir sur ses lèvres, étouffé par une autre bouche que la sienne. Les yeux clos, c’était son visage qui lui apparaissait tout aussi clairement qu’auparavant. C’était sur son corps cambré que ses doigts couraient, c’était sa bouche rosée qu’il embrassait durement, c’était dans ses bras qu’il venait mourir ce soir. Fébrilement, il la déshabilla sans jamais cesser de l’embrasser pour ne jamais avoir à ouvrir les yeux. Ses vêtements suivirent de peu. Il l’allongea sur le lit qui l’avait autrefois abritée. L’accord, le désaccord de leurs deux corps, ses mains tremblantes, presque hésitantes, la brûlure de sa peau contre le sienne. Et puis… Et puis…

« Hope… »

Merde.

Une semaine plus tard.

Il ne l’avait jamais revue. Elle s’était subitement arrêtée dans leur étreinte, lui avait asséné une claque magistrale avant de se dégager, de ramasser ses affaires et de claquer la porte. Elle aussi claquait les portes. Pauvre con. Et depuis, Luan n’embrassait plus. Plus aucune fille. Il les rendait folles, complètement folles de lui mais ne couchait jamais avec. Ces idiotes pensaient que c’était par respect mais lui… Lui savait, il avait tenté de se perdre dans d’autres étreintes, de s’enivrer d’autres parfums, son corps n’avait jamais épousé que le sien. Hope. Elle avait été son présent, son futur. Elle n’était dorénavant plus que son passé, un passé vivace, marqué au fer rouge sur sa peau brûlée par le soleil de Cancun. Dans sa chambre, il y avait comme une atmosphère mortuaire. Des cadavres de bouteilles jonchaient le parquet, des cendriers menaient la danse dans les rares espaces restants et lui, aux yeux injectés de sang, appuyé sur le rebord de sa fenêtre, une cigarette presque éteinte entre les mains, observant l’immensité du firmament sans même s’y arrêter. Il était ailleurs, ça faisait des mois qu’il était absent. Son esprit, son corps, son cœur, ne tendait que vers une seule chose : son retour. Mais elle ne revenait pas alors il n’était plus là, plus dans l’atrocité du présent. Il vivait dans le passé, là où elle résidait. Un brusque sourire vint étirer ses lèvres craquelées par les assauts du temps qu’il ne reconnaissait plus mais sa bouche se déforma en grimace maladroite. Il avait perdu l’habitude quand il l’avait perdue.

Sept mois plus tôt.

« Luan… »

Des bras, ses bras s’enroulèrent autour de son cou et son bassin vint se fondre dans le sien. Un léger sourire effleura le visage paisible du jeune homme alors qu’il sentait contre son dos, les assauts rythmiques de ses battements de cœur, échos manifestes du sien. Un délicieux frisson courut le long de sa colonne vertébrale alors que son souffle s’égarait dans son cou. L’harmonie de l’extase… C’était mieux que tout.

« Hope… »

Tout était dit. Ou plutôt non, c’est ce qu’il avait naïvement cru lorsqu’il s’était retourné et l’avait embrassé doucement, avec une lenteur infinie. Et l’espace d’un instant alors que leurs regards brûlants de désir se croisaient, ses yeux noirs avaient tenus le plus long discours. Trois petits mots qu’il ne lui avait jamais dis. Trois petits mots de rien, de tout. « Je t’aime. »

Samedi. 6.55AM. Sept mois, trois semaines, sept heures après son départ.

Luan passa une main fatiguée sur son visage mal rasé. Il avait encore trop bu. Il lui avait encore parlé toute la nuit. Elle, son illusion, son fantôme qui martelait ses espoirs de fragilité. Sobre, il buvait pour l’oublier. Ivre, il continuait pour lui parler encore et encore. Le pas chancelant, il avait vomi, passant la moitié de la nuit dans les toilettes d’un motel glauque. Il avait fui la réalité et personne ne le recherchait. Des parents trop occupés pour prendre des nouvelles de leur héritier, des amis trop cupides pour réellement s’intéresser à ses problèmes et qui s’appelaient dorénavant vodka, whisky et autres substances pas forcément licites… Il était seul, désespérément seul et sa solitude qu’il avait autrefois tant appréciée pesait dorénavant sur ses épaules aussi lourdement qu’une chape de plomb. Face au miroir, l’héritier Martinez se dévisagea intensément. Le jeune homme séduisant et souriant qu’il avait été s’éloignait de jour en jour et il ne faisait rien pour le retenir.

« Pinche cabron. »

Pauvre con. Il s’était laissé couler et n’avait à présent plus la force de se relever, ses regrets l’écrasaient au sol. Il voulait mourir. Mais au XXIème siècle, on ne mourrait plus d’un chagrin d’amour, c’était l’étoffe, la magnificence des fins des romantiques.

« Je t’aime. » C’était faux. Sortant de sa bouche, ça ne sonnait pas, ce n’était rien d’autre qu’un murmure silencieux, étouffé par les mensonges, les mensonges d’avant. Une paire d’yeux noirs en rencontra une autre, l’une fatiguée, un peu rougie à trop s’user dans la nuit et l’autre sévère, implacable, au jugement perçant, le genre de regard dont on ne réchappe sans quelques éraflures ou vérités, parfois les deux si l’on s’avère chanceux. Sans une once d’hésitation, l’une plantait son regard dans l’autre, se défiant mutuellement de s’en arracher. Le tic-tac effronté de la pendule du salon résonnait jusque dans cette salle de bain, mitoyenne à sa chambre. Et sur le marbre, son poing se serrait, dévoilant de blanches phalanges. Il se retenait maladroitement au meuble, à la vie pour éviter une chute qu’il avait déjà entamée sans le savoir. Les battements rythmiques lointains du cœur mécanique lui rappelaient que le sien ne résonnait déjà plus en écho. Des larmes d’impuissance vinrent troubler sa vue, c’était injuste. Epouvantablement injuste. Mais après tout, trop de fois il avait dit ces trois petits mots sans les penser, sans les entendre réellement comme maintenant. Et maintenant, il ne savait plus comment les dire sans qu’ils ne sonnent faux, sans qu’ils n’aient l’air d’une excuse. Alors il les disait trop et parfois pas assez. Il n’y avait plus de juste milieu. Face à ces yeux qui le jugeaient sans merci, il se sentait nu, seulement vêtu de leur histoire. Et puis, comme survient la trêve, son prénom résonna brutalement dans son esprit. Hope. Espoir. Essuyant avec rage les vestiges du mal-être qui s’enorgueillissait dès qu’il lui tournait les dos, dès qu’il gardait ses yeux mi-clos pour ne plus le voir, il arracha son regard à celui satisfait de son reflet. Un-zéro. Balle au centre.
Le pas lourd, Luan retourna dans la chambre et s’affala sur le lit défait. La télévision crachait des sons qu’il n’entendait plus et grésillait faiblement dans la pièce, illuminant à peine la pénombre que le jeune homme avait créée en laissant les épais rideaux tirés. Instinctivement sa main se tendit vers la table de nuit, prête à saisir l’unique bouteille survivante, déjà prêt à lui revenir mais à mi chemin, ses doigts hésitèrent, reculèrent et puis finirent par s’emparer d’un tout autre objet, son portable. Il l’ouvrit presque négligemment et fit défiler son répertoire, l’espoir grandissant à niveau en lui. Est-ce qu’il l’avait encore ? Un sourire de satisfaction murit sur ses lèvres alors qu’il composait le numéro. Une sonnerie, deux sonneries. A la troisième, son interlocutrice décrocha. Leur conversation dura bien une bonne heure et lorsque Luan reposa le téléphone, son cœur avait recommencé à battre. Il avait un plan.


L’Etre.

« Tous nous sommes faits d’une même argile,
mais ce n’est pas le même moule. »
Proverbe mexicain

Deux ans plus tard.

Ca y est. Il y était. La dernière étape… Arracher la vérité à sa meilleure amie n’avait pas été sans prix mais il y était parvenu, il ne savait encore trop comment. Lui, Luan Martinez, avait été retenu pour figurer parmi les 80 « Elus », les potentiels héritiers de l’excentrique Mr Button. Il n’avait pourtant pas besoin d’argent ou de renommé, la fortune familiale palliait agréablement à toutes ses envies sans jamais le forcer à travailler mais cette course à l’héritier lui offrait une deuxième chance sur un plateau et le jeune mexicain n’était pas du genre à cracher dessus. Sa détermination n’avait jamais failli, ne perdant jamais de vue son objectif principal. L’argent, la fortune de Mr Button était une chose mais il venait avant tout récupérer Hope….
D’un geste machinal, Luan épousseta distraitement sa chemise. Récupérer Hope ? Autant chercher à poser le pied sur l’Antarctique en sous-vêtements, c’était du pur suicide. Et pourtant, c’était la pensée qui l’avait maintenu éveillé, qui l’avait poussé à s’asseoir ce jour-là à la terrasse d’un grand café parisien alors que sa meilleure amie lui avait fait un commentaire éloquent sur sa situation. Pitoyable. Il en avait l’air, il en avait le goût. Mais ces temps là étaient révolus, il s’était repris en main depuis. A présent, il était fraichement rasé et n’avait plus touché à une goutte d’alcool. Ses habits étaient tout aussi sobres que lui mais cela lui donnait un air élégant, fin, racé. Malgré lui, il avait fait des rencontres ici-bas et trouvé d’autres intérêts, des intérêts qui pourraient lui faire perdre de vue l’origine de sa venue mais il était comme ça. Dès qu’un défi se présentait à lui, le jeune homme avait le plus grand mal à résister. C’était notamment pour ça qu’il prenait un malin plaisir à jouer à la douche écossaise avec les autres. Sa cible préférée ? Erin Halle Allward, du deuxième étage. Elle a des airs d’Hope lorsqu’elle s’énerve et bien entendu cela amuse au plus haut point le jeune homme qui sait qu’il lui plait sauf quand il prend l’habitude de tout foutre en l’air évidemment… Une autre soupe au lait ? Shy, la jolie Shy qui ne peut en placer une sans être vulgaire. Il a bien tenté de la fuir mais ses crises de colère attirent le jeune homme plus qu’il ne devrait. Un léger soupir frémit sur les lèvres de Luan alors qu’il quittait sa chambre, croisant Willem sans sembler y prêter garde. Willem. Peut-être l’une des personnes qu’il pouvait le moins supporter, lui et son caractère trop affable, trop gentillet. Il faisait tout tomber, cassait tout et son air benêt lui accordait le pardon éternel. Quelle belle connerie. Quand il y pensait, les rares amitiés qu’il avait nouées ici étaient sous l’influence de sa tentation la plus extrême, la colère. Plus jeune, il ne savait absolument pas se maitriser et piquait de fréquents caprices et des poussées de colère qui lui faisaient monter le sang aux joues. A vingt quatre ans révolus, ses accès colériques étaient plus mesurés, plus froids, plus perfides aussi. Et nombreuses étaient les prises de tête, notamment avec Cassendre. Pourtant, somme toute, ce dernier était d’une compagnie exquise lorsqu’il ne dévoilait pas ses plus gros défauts : l’orgueil et l’avarice. Et il n’était pas rare que les deux jeunes hommes en viennent à défendre leurs arguments de leurs poings. La discussion était souvent stérile mais cela faisait un bien fou, n’est-ce pas ?
Consultant sa montre, le pas du jeune homme se fit un peu plus pressant. Il devait rencontrer Abby dans les jardins et il était légèrement en retard. Hormis Hope par le passé, la jeune femme était la seule personne avec qui il ne craignait pas de laisser tomber le masque de froideur qu’il s’était érigé. S’étant autoproclamé protecteur de cette jeune demoiselle, il l’aimait comme si elle était la jeune sœur qu’il n’avait jamais eue et était souvent enclin à se retrouver en sa compagnie, dévoilant malicieusement le jeune homme qu’il avait été avant de s’enfermer sous une carapace saupoudrée d’une ironie mordante. C’est comme ça qu’il s’en était sorti après tout… Néanmoins, et au plus grand damne de sa sœur de cœur, Luan, dans un comportement tout bonnement enfantin ne pouvait s’empêcher de draguer tout ce qui avait une jupe et ce de la manière la plus innocente qui soit, faisant des sous-entendus, parfois grossiers mais en sa présence, il se montrait d’excellente compagnie les trois quart du temps et donc se retenait par égard pour elle et puis elle se serait certainement moquée de lui. C’est donc la personne dont il était le plus proche et probablement celle qu’il aimerait le plus voir gagner la fortune de Mr Button, après lui bien sûr. Elle la méritait après tout, ne serait-ce que pour avoir tenu à le connaitre après ses manœuvres dissuasives.
Cependant, il ne fallait pas croire que Luan ne savait pas non plus se lier d’un semblant d’amitié avec autrui mais le jugement du jeune homme était souvent implacable, bien qu’il arrivait quelques surprises comme c’était le cas avec Klaus et Drake. Oh, ils n’étaient pas proches mais ils n’étaient pas non plus des étrangers les uns envers les autres. Et bien que l’héritier Martinez détestait avoir tort, force lui fut d’avouer que ces deux là étaient beaucoup plus qu’il n’en paraissait au premier abord.
Dévalant les escaliers, Luan s’arrêta net, devant se retenir à la rambarde pour ne pas tomber. Hope. Hope était là, en bas… Si belle dans cette tenue ordinaire, citadine. Il n’y avait qu’une chose qui l’avait autant fasciné de toute sa vie, la boite de Botticelli, celle qu’on ne devait sous aucun prétexte ouvrir. Le jeune homme savait sa situation précaire, ici, en se voulant héritier de la Black Society, il s’exposait non pas à une mais à trois tentations. Son pêché capital qui selon l’article un, ne devait jamais se relâcher mais également la boîte de Botticelli, si magnifique que ses doigts rêvaient parfois de l’effleurer sur l’écran noir de ses nuits blanches. Et pour finir, la dernière mais non la moindre, Hope, le feu de ses reins, sa Tentation, sa Rédemption. Un léger sourire mordit la bouche du jeune homme, qui avait dit que les règles n’étaient dictées que pour être enfreintes ? De toute sa vie, on ne lui avait jamais dis comment se comporter. Etait-ce l’endroit et le lieu pour commencer ? Qu’importe. Luan Martinez parvenait toujours à ses fins… Toujours.

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&& Pseudo: P'tit nem. Mangez moi, mangez moi, mangez moii #SBAAF#
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Signature : Hôtel [Gné. Bande de vilaines, changer en cours de route What a Face]


Dernière édition par Luan Martinez le Mar 29 Juil - 22:09, édité 6 fois
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Eleanor McJordan
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#        Goodbye Apathy [Cash/Visa] Vide
MessageSujet: Re: # Goodbye Apathy [Cash/Visa] #        Goodbye Apathy [Cash/Visa] Icon_minitimeVen 18 Juil - 2:17

&& Bienvenue à toi l'ancêtre.
Je suis pas un bébé d'abord affraid . Je te souhaite une bonne chance pour la continuation de ta fiche, en espérant qu'elle te pose plein de problèmes te soit aisée à faire et pas ennuyante. #        Goodbye Apathy [Cash/Visa] 744610
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Luan Martinez
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#        Goodbye Apathy [Cash/Visa] Vide
MessageSujet: Re: # Goodbye Apathy [Cash/Visa] #        Goodbye Apathy [Cash/Visa] Icon_minitimeMar 29 Juil - 22:09

Bon euh... C'est un peu minable mais... J'ai fini.
J'aime pas les ficheeeees --" Me rattraperais en rp ? *Sourire colgate*
Ah, si j'ai oublié un truc, gômen, je réparerais de suite^^
Enfin... Voilà quoi xD
PUIS SI T'ES UN BEBE xD -->
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Hope Von der Wardol
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__#_Don't pull my strings, Honey.
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Les dés truqués
Faiblesse: Luan
Etat de l'âme: Âme pure
Partenaires de Jeu:

#        Goodbye Apathy [Cash/Visa] Vide
MessageSujet: Re: # Goodbye Apathy [Cash/Visa] #        Goodbye Apathy [Cash/Visa] Icon_minitimeMer 30 Juil - 2:34

M. Martinez, encore un alcoolique collectionos Razz
J'ai pris plaisir à lire votre fiche, non pas parce que le nom de mon personnage apparaît toutes les 10 lignes comme vous pourriez le penser. Mais, pour la simple et bonne raison que vous avez un langage élaboré avec un rp très fluide et très agréable à lire. Vous avez abrodé les traits caractériels du personnage avec facilité sans ommetre votre pêché capital et la course à l'héritier. Malgré votre "bâclé", j'ai le plaisir de vous valider, en espérant que vous vous plairez parmis nous et aussi que j'attends avec impatience un rp avec vous commencerez par galentrie (a)
You can play Wink

N'oubliez pas de poster votre fiche relationnelle du côté "Livre de réclamation" pour augmenter votre livre de conquêtes d'amitiés ou de rivalités.
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#        Goodbye Apathy [Cash/Visa] Vide
MessageSujet: Re: # Goodbye Apathy [Cash/Visa] #        Goodbye Apathy [Cash/Visa] Icon_minitime

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# Goodbye Apathy [Cash/Visa]

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