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[Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !"

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AuteurMessage
Sylvia A. Dickens
Lumière sur Sylvia A. Dickens
Age (du perso) : 21 ans
Nombre de messages : 67
Pêché Capital : Paresse
Date d'inscription : 18/07/2008


[Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Vide
MessageSujet: [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Icon_minitimeVen 18 Juil - 16:56

I. IDENTITY PASS

    Nom : Dickens. Comme son père.
    Prénom : Sylvia Anthony. Un deuxième prénom de garçon, dites-vous ? Oui, elle l'a hérité de son père, encore une fois...
    Surnom : Surtout pas, Sylvia déteste ça.
    Âge : 21 ans. Tout pile le bon âge pour elle et, si elle pouvait, la jeune femme souhaiterait ne pas grandir. Il y a tellement de responsabilités et de choses à faire en grandissant...
    Date et le lieu de votre naissance : Le 22 juillet 1987 à Santiago, au Chili.
    Nationalité : Chilienne. Original, n'est-ce pas ? Elle trouve aussi.
    Emploi : Mannequin. Métier dont elle est extrêmement fière alors ne vous avisez pas de venir critiquer le mannequinat...



II. YEAH, I KNOW, I KINDA ROCKING, DUDE


    Caractère : A elle seule, Sylvia représente la personne que vous pouvez soit aimer, soit détester. Il n’y a pas de juste milieu avec elle. A la fois adorable et totalement chiante, vous pouvez être sur de ne jamais vous ennuyer avec la jeune femme. Première quand il s’agit de faire la fête et de s’amuser, elle est bonne dernière quand il s’agit de ranger un lendemain de soirée. Ah oui, vous n’êtes pas encore au courant. A vrai dire, j’aurais du commencer par ça : Sylvia est une vraie paresseuse. Non, pas le genre de paresse où l’on préfère rester au chaud sous la couette ou devant la télé plutôt que de sortir dehors un jour de pluie. Je vous parle la de la paresse extrême, celle où l’on se demande parfois si ce n’est pas fait exprès ou, en tout cas, exagéré. C’est bien simple : ranger ses affaires, elle n’en a jamais l’envie et n’en voit de toute manière pas l’intérêt. Faire la cuisine ? Autant aller au restaurant ou s’acheter des plateaux repas. Bien sur, il ne faut pas se faire livrer de pizzas, il faut qu’elle garde sa ligne pour son métier, tout de même. Aller faire les courses ? Bah, sa mère s’en occupe très bien comme ça, pas la peine d’y aller à d’eux. Je pourrais continuer longtemps comme ça mais la liste serait beaucoup trop longue. De toute manière, je pense que ça vous suffit pour voir le genre de personne qu’est Sylvia : elle remet toujours tout au lendemain, sans penser qu’il n’y en aura peut-être pas un. Elle se considère trop jeune pour avoir des responsabilités, fuit les travaux manuels et vit sans se soucier des conséquences. Après avoir lu tout ça, vous allez me dire que la jeune femme est quelqu’un de bien agaçante et assez détestable. Eh bien détrompez-vous ! Sylvia est une personne très, voire trop attachante. Sans pour autant dire que tout le monde l’aime, la plupart des gens l’apprécient beaucoup et elle a beaucoup d’amis pour très peu d’ennemis. Elle aime rire et s’amuser, ce qui correspond aux goûts de la plupart des jeunes adultes d’aujourd’hui. Son humour et sa joie de vivre fait bien souvent plaisir à voir et remonte le moral des gens qui, la plupart du temps, se confient à elle car la jeune femme reste quelqu’un à l’écoute des autres. Toujours en train de sortir des blagues, de se fendre la poire pour pas grand-chose, cette bonne vivante est bon public et ne critique jamais personne si ça ne lui apportera rien de le faire. Attention, ce n’est pas pour autant qu’elle se laisse marcher sur les pieds ou qu’elle ne dit pas parfois tout haut ce que tout le monde pense tout bas. C’est juste que Sylvia n’est pas sur cette terre pour rabaisser les autres et montrer à tout le monde qu’elle est supérieure. Enfin, passons. Une autre des qualités de la jeune femme, c’est qu’elle est complètement déjantée. Excentrique et originale au possible, elle n’a pas froid aux yeux et n’a peur de rien. Elle sait que le ridicule ne tue pas et ne voit donc pas l’intérêt de se bloquer pour peu de choses. Sa seule barrière est le respect des autres. Ne dit-on pas que la liberté des uns s’arrête là ou commence celle des autres ? Bref, si il y a pari stupide, il y a Sylvia. S’il y a blagues idiotes, il y a Sylvia. Seulement s’il ne faut pas trop faire d’efforts, bien entendu. La jeune femme est une vraie effrontée à qui l’on pardonne tout tellement elle est drôle. Mais il arrive bien souvent qu’elle énerve et que son excentricité ne plaise pas à tout le monde. On la croit fausse, trop sincère pour être vraie et manipulatrice. Sylvia tape également sur les nerfs car elle est beaucoup trop joyeuse en permanence. Par des actes, elle peut également provoquer l’antipathie ou la mauvaise humeur. Par exemple, la jeune femme peut très bien vous appeler à quatre heures du matin pour une broutille et ne pas comprendre pourquoi vous vous énervez par la suite. Elle ne comprend pas toujours pourquoi les gens sont tristes et a du mal à supporter que l’on ne puisse pas aimer la vie. De plus, la jeune Sylvia a un manque de tact évident. Elle ne trouve pas ses mots, fait souvent des gaffes en essayant de parler aux gens et dit les choses au mauvais moment. Ce qui la rend adorable devient alors réellement un handicap car on la considère trop âgée pour ne pas savoir ce qu’il faut dire ou non aux gens. Sylvia se trouve alors parfois gênée et stoppée dans sa façon d’être, mais tout redémarre rapidement, avec elle. Néanmoins, même si on la trouve parfois envahissante et insupportable, on ne peut pas nier qu’elle reste quelqu’un d’adorable et de captivante. Elle intrigue, provoque des réactions parfois étranges et, tout compte fait, passionne. Qu’on l’aime ou qu’on la déteste, la jeune femme reste elle-même et ne se prend pas la tête pour des choses futiles et sans intérêt. Alors oui, Sylvia n’a pas fini de faire parler d’elle…
    Qualités : Sylvia est avant tout une personne adorable et attachante. Que d’adjectifs en ‘a’, n’est-ce pas ? Elle sait rester à disposition des gens sans pour autant s’immiscer et a parfaitement conscience que si on ne vient pas la voir pour lui demander de conseils, c’est que la personne n’est pas prête à parler et que, par conséquent, elle ne veut pas qu’on vienne la voir et qu’on la titille avec des ‘Tu vas bien ?’ ou des ‘Allez, raconte !’. La jeune femme est également quelqu’un d’indépendante, qui n’a besoin de personne pour avancer. Elle ne regrette jamais ses choix qui sont, bien souvent, murement réfléchis. Sylvia n’a peur de rien, ne craint personne, agit avant de réfléchir et, pourtant, ne fonce jamais droit dans le mur. Agaçant, n’est-ce pas ? En tout cas, Sylvia est une vraie fêtarde, drôle et amusante en prime. Si vous allez mal, vous pouvez être sûr que la jeune femme vous remontera le moral ! Elle sait être à l'écoute, être attentionnée, donner de bons conseils et être une bonne confidente De nature généreuse, elle n'hésite pas à aider ceux qu'elle aime. Sous ses airs un peu légers, Sylvia est intelligente et maligne et ne se laisse jamais avoir. On la prend parfois pour une imbécile mais c’est tout le contraire. Avec sa famille aisée, elle aurait pu être avare. La jeune femme a toujours obtenu tout ce qu’elle voulait, il suffisait de demander et, pourtant, elle s’est toujours contentée de rien. La famille, les amis, c’est tout ce qui lui permet d’être heureuse et de vivre à cent pourcent. Elle ne s’est jamais vantée ni de sa famille, ni de son argent et paye des choses à ses proches, simplement pour leur faire plaisir. Fidèle et loyale, elle ne trahira jamais les gens qui lui sont chers. Enfin, seulement avec ceux qui lui rendent la pareille, bien évidemment.
    Défaults : Pour commencer, Sylvia est une personne atrocement paresseuse. Elle ne range rien, ne fait jamais à manger, ne s’occupe de rien. Pire que ça, elle fuit les responsabilités en permanence et refuse presque de grandir. Le syndrome de Peter Pan, me direz-vous. Eh bien, peut-être… En tout cas, elle a besoin qu’on s’occupe d’elle mais la jeune femme ne veut pas se l’avouer et ne le montre jamais. Elle fait également parti des gens qui sont assez excessifs. Trop déjantée, trop heureuse, trop gentille, trop bruyante, trop drôle… Sylvia agace parfois, fait parler d’elle souvent et capte l’attention tout le temps. La jeune femme est également très rancunière. Si une personne qu’elle aime lui fait du mal, elle lui en fera en retour, même si ça reste modéré. Par contre, si on s’attaque aux gens qu’elle aime, Sylvia devient une vraie furie. Elle fera subir à la personne au moins le double, vous pouvez en être certain ! Ce n’est pas une des valeurs inculquées par ses parents, mais elle est simplement devenue comme ça en grandissant, comprenant qu’il ne fallait jamais se laisser faire. Autre défaut chez elle, Sylvia ne montre jamais réellement quand elle va mal. Elle se cache, refoule ses larmes et range sa tristesse au fond d’elle. Dans ces moments là, la jeune femme ne quitte jamais son sourire ce qui fait que seul les personnes extrêmement proches d’elle savent quand elle va mal. Plus jeune, Sylvia faisait également preuve d’une arrogance extrême. Elle se fichait de tout et de tout le monde, ne prêtait d’attention à personne et cultivait ce côté je-m’en-foutiste. Mais au fil des années, elle a grandit et à totalement changée à ce niveau là, même si parfois il lui arrive encore de ne prêter attention qu’à elle. Enfin, ça dépends des moments…
    Physique & Style Vestimentaire : Dire que Sylvia n’est pas belle ou du moins jolie serait mentir. Avec sa grande taille et son poids qui y est proportionnel, la jeune femme n’est pas mannequin pour rien. Ses longs cheveux auburn frisés ou lissés selon ses envies descendent en cascade sur ses épaules et ses yeux bruns en amandes qui pourraient paraître banals à première vue ont une attraction impressionnante et ressortent très bien grâce à son teint clair. On dit que les yeux sont le miroir de l’âme et cette phrase se traduit parfaitement bien avec la jeune femme. Peur, tristesse, envie… le regard de Sylvia est son pire ennemi qui la trahit à chaque instant. D’ailleurs, une personne lui a un jour dit cette phrase très belle : « Même les étoiles les plus brillantes envient tes yeux ». Si vous pensez que c’est exagéré, vous vous trompez. Mais bref, continuons, je ne pense pas que lire une description des yeux de Sylvia pendant une cinquantaine de lignes vous intéresse fortement. Loin d’être ultra maigre, la jeune femme a des formes là où il faut et une corpulence qui lui permet de ne pas trop grossir, même si elle mange beaucoup. Pendant longtemps, la jeune femme ne se sentait pas à l’aise dans ce corps. Croyez le ou non, elle portait souvent des vêtements amples ou alors elle ne se montrait que très peu dehors. C’était pendant l’adolescence où, comme la plupart des personnes, elle se sentait complexé. Côté style vestimentaire, Sylvia peut très bien jouer la carte de la simplicité comme la carte de l’excentricité ou de l’originalité. Elle change souvent de style, passant du chaud au froid selon ses envies et son humeur. Aussi instable au niveau des vêtements que de son caractère, me direz-vous. Pour donner quelques exemples, elle préfère parfois porter des couleurs que peu de monde osent porter, comme du rouge ou du vert bien pétants. Un autre jour, ça sera du noir ou du blanc, bref des couleurs plus sobres. La jeune femme n’est pas fan des motifs sur les vêtements mais ça lui arriver de porter parfois des carreaux ou même des pois ! Là non plus, elle n’a pas peur d’innover et de se démarquer des autres. Son métier lui a inculqué des notions de mode et de classe qui ne faisait pas parti de son éducation d’avant et maintenant, elle respecte beaucoup ces critères. Sylvia essaye donc de toujours ‘bien’ s’habiller. Enfin, bien entendu, il faut que cela lui plaise : si c’est cher pour un vêtement qu’elle trouve horrible, cela va de soi qu’elle ne l’achèterait pas. Elle aime être belle, mais tout de même, elle ne cherche pas à tomber dans la superficialité.


  • } Tenue de soirée fétiche : Comme précisé plus haut, les vêtements que portent Sylvia au quotidien dépendent grandement de son humeur et de son envie. Forcément, c’est la même chose pour ses tenues de soirées. Elle peut très bien porter une robe noire classique pour l’une et quelque chose de plus excentrique pour une autre. Mais la plupart du temps, la jeune femme joue la carte de la classe et de l’élégance, tout en portant des habits confortables, puisque le but d’une fête est tout de même de s’amuser et de danser ! De ce fait, elle ne porte pas forcément de robes, mais parfois des pantalons toujours un peu élégants. Pourtant, les couleurs restent toujours sobres pour ses tenues de soirées, ce qui n’empêcher pas l’originalité. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’elle a toujours une chose en plus sur sa tenue pour se démarquer : un peu de strass, un dessin original, une broche… tout ce qui peut faire qu’elle ne soit pas habillée comme tout le monde !
  • } Tenue que tu n'as jamais osé porté, mais qui ne t'aurais pas déplut : Une tenue que la jeune femme n’a jamais essayée mais qui la tenterait ? Hum, c’est assez difficile à dire, étant donné qu’elle ose tout. A bien y réfléchir, elle ne porte jamais de tenues très décontractées comme un tee-shirt tout simple ou un jogging. Ce n’est pas qu’elle ne trouve pas ça bien, seulement ce n’est pas vraiment style. Ne croyez pas qu’elle ne porte jamais de tenues simples, bien au contraire ! Mais là, elle trouve ça beaucoup trop décontractée pour elle. Mais comme Sylvia tente tout, rien ne prouve qu’elle n’essayera jamais ce genre de tenues. Après tout, peut-être que ça lui irait bien et qu’elle apprécierait, qui sait ? Malgré tout, ce n’est pas prévu pour le moment.
  • } Tenue prévue pour l'entretien avec M. Button : Pour être sincère, Sylvia avait prévue une tenue réellement magnifique pour l’entretien avec M. Button. Un tailleur noir et blanc très chic avec une broche dorée et des chaussures à talons brillantes qui s’accompagnait parfaitement avec le tailleur. Vous allez me dire que c’est superficiel, mais pas du tout. Disons que c’est juste pour faire bonne impression… enfin bref, la jeune femme pensait s’habiller de cette manière, persuadée qu’elle marquerait l’esprit de cette façon. Seulement… seulement, cette paresseuse extrême à tout simplement oublié d’aller chercher sa tenue au magasin. Enfin, oublié ou n’en a pas eu l’envie. Idiot comme erreur, n’est-ce pas ? Et comme le délai était d’une semaine, elle s’est retrouvée sans rien à se mettre. Mais comme elle prévoit toujours un plan B, une amie à elle a pu lui prêter un autre tailleur. Un peu moins classe que le premier, mais avec les mêmes couleurs et de la même forme. Voilà donc ce qu’elle a prévu de mettre… faute d’autre chose.


Dernière édition par Sylvia A. Dickens le Dim 20 Juil - 2:22, édité 10 fois
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Hope Von der Wardol
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[Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Vide
MessageSujet: Re: [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Icon_minitimeVen 18 Juil - 17:42

&& Bienvenue jeune fille,
étant donné qu'il y a déjà une Synthia, nous devrons trancher entre vos 2 présentations. Alors applique toi bien =)
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Sylvia A. Dickens
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MessageSujet: Re: [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Icon_minitimeVen 18 Juil - 17:45

Merci beaucoup, je vais faire de mon mieux =)
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Sylvia A. Dickens
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[Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Vide
MessageSujet: Re: [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Icon_minitimeVen 18 Juil - 22:03


  • } Tenue qui ferait fantasmer le personnage si quelqu'un la portait ? Hum, en voilà une question étrange. Sylvia n’est pas quelqu’un qui fantasme facilement ou qui en a l’envie au quotidien. Alors forcément, ça se répercute au quotidien. Disons que chez un homme, la jeune femme aime bien les tenues simples. Le temps que ça reste élégant, ça lui va. Pour en revenir à la question, disons qu’un homme en chemise la fait toujours craquer. Un peu étrange, non ? Il est vrai que ça ne sort pas vraiment de l’ordinaire mais que voulez-vous, c’est comme ça…
    Particularité(s) : Sylvia a une manie assez basique en soi, mais qui déstabilise parfois les gens. La jeune femme a en effet l’habitude de se mordre la lèvre inférieure quand elle est stressée, de mauvaise humeur ou mal à l’aise. Les gens proches d’elle ont l’habitude mais quand on la voit pour la première fois, ça étonne pas mal. D’ailleurs, elle n’a jamais compris pourquoi puisque ce n’est pas vraiment exceptionnel...


III. MY LIFE, MY PART

    Histoire :

    22 juillet 1987, hôpital de Santiago.

    « Félicitations, c’est une fille !
    - UNE FILLE ? »


    Le poing de Monsieur Dickens se serra, tandis qu’une irrépressible envie de hurler lui prit. Mais un homme de ce rang ne pouvait pas, bien entendu. Surtout pas en public. Il regarda sa femme avec une expression indescriptible (un mélange de déception, de colère et de tristesse) avant de sortir en bredouillant qu’il avait besoin de prendre l’air. Madame Dickens n’essaya même pas de le retenir. Depuis bien longtemps, elle connaissait le sexe du bébé qui venait de naître et qu’elle serrait maintenant dans ses bras avec une infime tendresse. Si elle ne lui avait rien dit, c’était bien évidemment pour éviter ce genre de débordement. C’était d’ailleurs raté…

    « Excusez-moi, madame, mais j’ai besoin du nom du bébé pour remplir sa fiche de naissance… »

    La jeune maman sembla hésiter un moment, avant de se décider.

    « Sylvia Anthony. Elle s’appelle Sylvia Anthony… »

    27 juillet 1987, Résidence des Dickens, Santiago.

    « Une fille, tu te rends compte ? Une fille ! »

    Cela faisait cinq jours que Monsieur Dickens n’avait pas adressé un seul mot à sa femme. Il n’avait même pas demandé à voir l’enfant. Bien entendu, cette situation n’allait pas pouvoir durer éternellement, Madame Dickens s’en était douté. Alors au petit déjeuner, ce matin-là, la colère du père avait éclaté.

    « Oui, une fille, et alors ?
    - Et alors ? ET ALORS ? Tu oses me demander ce qui ne va pas ? »


    La jeune mère savait très bien ce qui n'allait pas. A la tête de sa grande entreprise, Monsieur Dickens avait toujours désiré quelqu'un qui pourrait la reprendre, une fois sa mort venue. Et bien entendu, il ne désire pas d'une fille pour faire cela. Il avait toujours désiré un garçon et ne supportait pas ce qu'il considérait comme une 'défaite'.

    « Je suis certaine qu'elle pourra aussi bien s'occuper de ton entreprise que n'importe qui...
    - De toute manière, tu ne peux pas comprendre... »


    Et il sorti en claquant la porte. Madame Dickens soupira, tout en jetant un coup d'œil au bébé qui dormait paisiblement dans son berceau et qui ne se rendait sans doute pas encore compte des difficultés qu'il allait rencontrer.

    18 septembre 1995, Résidence des Dickens, Santiago.

    « Elle ira avec moi !
    - Non, tu n’es pas capable d’élever un enfant. Quand elle est née, tu as fait ta tête de mule et tu as même refusé de la voir ! »


    Sylvia plaqua ses mains sur ses oreilles et ferma les yeux, tentant vainement de ne plus voir et de ne plus entendre. La petite fille n’en pouvait plus de leurs disputes incessantes et aurait aimé être loin d’ici. Aujourd’hui à l’école, sa maîtresse lui avait demandé de venir la voir à la fin de la classe pour lui parler d’une chose importante. En fait, elle avait discutée avec elle car elle voyait que quelque chose n’allait pas. Mais bien entendu, la petite fille n’avait rien raconté, elle n’avait pas trahit ses parents.

    « S’il vous plaît, arrêtez ! Vous n’avez qu’à divorcer si vous ne vous entendez plus ! »

    Monsieur et Madame Dickens se stoppèrent net, étonnés que Sylvia réagisse de cette façon et connaisse la signification d’un tel mot que le mot ‘divorce’.

    « Mais voyons, non, tu sais très bien que c’est faux… »

    Pour toute réponse, la petite fille claqua la porte et monta dans sa chambre.

    15 novembre 1997, Résidence de Madame Dickens, Santiago.

    Bien entendu, les parents de Sylvia avaient menti. A peine deux ans après cette scène de dispute, les voilà séparés. Pour ne pas troubler la petite fille, un accord avait été convenu : elle irait chez sa mère la semaine et chez son père le week-end. Mais Sylvia n’aimait pas beaucoup cette situation. Elle se sentait souvent très seule, abandonnée de tout le monde et complètement déboussolée.

    « Dis, maman… pourquoi-vous avez divorcé avec papa ? »

    Madame Dickens, surprise, laissa tomber le magazine qu’elle était tranquillement en train de lire et tourna la tête vers sa fille. C’était la première fois qu’elle évoquait le divorce devant sa mère et c’était assez étonnant.

    « Eh bien… Il faut que tu saches qu’on s’aime beaucoup tous les deux et que ce n’est pas du tout de ta faute. Seulement, il arrive qu’un jour, deux adultes s’aiment trop pour pouvoir rester ensemble. On n’a donc pas d’autres choix que de se séparer pour respirer un peu… tu comprends ?
    - Mais je pensais que c’était une bonne chose, de s’aimer… »


    La jeune mère esquissa un sourire, ravie de constater le vif esprit de Sylvia.

    « La plupart du temps, c’est très bien. Mais parfois, c’est destructeur… tu comprendras quand tu seras un peu plus grande, c’est promis. »

    Madame Dickens ébouriffa les cheveux de la petite fille, la faisant rire. Oui, elle comprendrait plus tard…

    14 mars 1999, Résidence de Monsieur Dickens, Santiago.

    « Sylvia, tu peux descendre un instant, s’il te plaît ? »

    Notre jeune fille a bien grandi. Elle est maintenant au milieu de son adolescence et accepte parfaitement le divorce de ses parents. Elle ne se pose plus de questions et vit tout simplement, sans se soucier d’autres choses. L’école se passe bien, elle a même des projets d’avenirs. Pas mal d’amis, très peu d’ennemis… tout va bien, en soi.

    « J’arrive, papa ! »

    Sylvia dévala les escaliers et son père l’accueillit avec un grand sourire. Il était avec une belle femme, très grande, mais elle n’y prêta pas attention sur le moment, pensant que c’était une de ses amies.

    « Bonjour madame… Tu me cherchais, papa ? »

    Monsieur Dickens lui adressa un grand sourire et prit la parole.

    « Oui, je voulais te présenter Meredith. On s’est rencontrés il n’y a pas si longtemps. C’est ma nouvelle amie… »

    La jeune adolescente se figea et son sourire s’effaça de ses lèvres. Avait-elle bien entendu ce qu’elle venait d’entendre ? Elle savait très bien qu’il était temps pour son père de refaire sa vie (après tout, sa mère l’avait fait) mais elle n’arrivait pas à l’accepter, elle ne savait pas pourquoi.

    « Je… non, c’est impossible. Tu mens, je sais que tu mens… »

    Son père la regarda, intrigué et sa compagne afficha un sourire gênée. Elle s’approcha de Sylvia et posa une main sur son bras, comme pour tenter de la rassurer. Mais la jeune fille bougea son bras pour se dégager.

    « NE ME TOUCHEZ PAS ! Je ne vous connais pas et vous non plus. Je vous HAIS tous les deux ! »

    Et comme quelques années plus tôt, Sylvia monta les escaliers et claqua la porte de sa chambre.

    14 janvier 2008, Appartement de Sylvia, Londres.

    La jeune Sylvia pénétra dans son appartement, ferma la porte et posa ses clés sur la table de la cuisine. Elle enleva ses chaussures, se prépara une soupe et enclencha le répondeur pour vérifier si on l’avait appelée pendant son absence. Elle revenait d’un shooting à l’étranger et avait été là-bas pendant deux semaines. Elle sourit en constatant qu’il n’y avait que des messages de son père. Cela ne faisait qu’un an qu’ils avaient renoués le contact, Sylvia ayant choisi de vivre chez sa mère une fois ses seize ans atteints. En effet, elle a eu un grand mal à pardonner à son père de vouloir refaire sa vie, même si ce n’était pas une chose qu’elle avait le droit de lui reprocher. Forcément, elle avait fait des erreurs mais avait été trop fière pour se l’avouer pendant des années. Mais maintenant qu’ils se reparlaient, son père s’inquiétait beaucoup pour elle et l’appelait sans cesse.

    La jeune mannequin prit sa soupe et la but lentement, tout en feuilletant son courrier. Il n’y avait là que des propositions d’emplois ainsi que des factures. Son orientation vers le mannequinat marchait plutôt bien et on lui proposait souvent de travailler pour tel ou tel créateur. Elle était jeune et c’était ce que l’on demandait. Sylvia n’avait donc pas à se plaindre, tout marchait parfaitement bien pour elle.
    Parmi les lettres, il y en avait une de sa mère qui prenait de ses nouvelles. Tout se passait bien avec elle également. Voilà un an qu’elle avait choisi de déménager pour Londres afin de faire carrière dans le mannequinat et un an que sa mère prenait des nouvelles sans arrêt. Elle décrocha le téléphone et composa le numéro son numéro, tombant sur le répondeur.


    « Oui maman, c’est moi, Sylvia. C’est pour te dire que j’ai bien reçu ta carte et je vais très bien, je te rassure. Rappelle-moi dès que tu peux, je t’aime… »

    Elle raccrocha puis composa le numéro de son père. La soirée allait être longue…

    Relations :
    Maxime Kirdam = Le coup de foudre, tout simplement. Dès que Sylvia a posé son regard sur le jeune homme, elle est immédiatement tombée amoureuse de lui, sans pour autant le connaître. Mais au fur et à mesure, tout ce qu'elle découvrait de lui la confortait dans ce qu'elle ressentait. Sa maladresse le rend adorable aux yeux de la jeune femme et, décidément, elle est totalement sous le charme. Seulement, elle est persuadée que son coup de foudre n'est pas réciproque et que le jeune homme ne sait même pas qu'elle existe. Dans ce cas-là, que faire ? Se lancer et prendre le risque de se planter lamentablement ou attendre bien sagement dans son coin et ne jamais être fixé ? Celle qui d'habitude ose toujours tout se sent bien timide. Décidément, il la met dans tous ses états...

    Diego Santiano = Le jeune homme étant un ami d'enfance de Sylvia, elle l'apprécie vraiment et tient beaucoup à lui. Il est pratiquement son seul confident et il sait tout de sa vie, comme elle sait tout de la sienne. Très protecteur envers elle, la jeune femme se sent en sécurité et l'en remercie pour cela, même s'il a tendance à l'agacer à toujours vouloir être avec elle. Sa présence lui semble indispensable car il ne supporte pas de ne pas la voir pendant quelques jours ce qui est presque intriguant. Parfois, la miss aimerait bien un peu d'air mais il est tellement drôle qu'elle lui pardonne tout. Ne le voyant que comme un très bon ami, Sylvia ne se rend pas compte qu'il change peu à peu d'attitude et qu'il devient de plus en plus désagréable dès qu'un garçon l'approche.

    Sixtine O'Brooklin = Sylvia aime beaucoup la jeune femme. Tout est toujours tranquille avec elle car elle ne se pose pas des questions existentielles à longueur de journée et ne se prend pas la tête. Jamais de disputes pour rien, jamais de mots plus hauts que l'autre, jamais de colère injustifiée... La vie est belle et mérite d'être vécue pour les deux jeunes femmes et cette conception des choses les rapproche. Similaire au niveau du caractère, elles s'entendent très bien et se parlent souvent. Les sujets de discussions sont bien souvent légers et moindres, mais il arrive parfois qu'elles aient des conversations plus sérieuses. En bref, elles sont assez proches et partagent les mêmes idées et le même état d'esprit, ce qui est assez rare dans la vie...

    James Isaacs = La jeune femme n'a rien contre lui mais il l'intrigue un peu. Sans avoir l'air méchant ou mauvais, Sylvia a toujours une certaine appréhension quand elle l'aperçoit et elle a réellement du mal à lui adresser la parole. Elle ne sait pas pourquoi, mais elle a un mauvais pressentiment vis à vis de lui et elle ne désire pas faire connaissance avec lui. De ce fait, la jeune femme l'évite du mieux qu'elle peut mais celui-ci semble vouloir se lier d'amitié avec elle, voire plus. Sans vraiment être apeurée, Sylvia se sent mal. Mais puisque Diego ne semble pas beaucoup apprécier James et qu'elle fait totalement confiance à son ami d'enfance, elle continue à fuir le jeune homme et se sent en sécurité tant que Diego sera là pour la protéger de cette personne qu'elle ne sent décidément pas.


IV. ME, MYSELF AND I

    Avatar utilisé : Jeisa Chiminazzo
    Prénom/Surnom : Chamallow ^^"
    Âge : 15 ans =)
    Sexe : Féminin
    Carte de la Chambre : Ok by Hope
    Comment avez-vous connu le forum ? En allant de partenaires en partenaires.
    Des suggestions pour l’améliorer ? Pas pour le moment, il est très bien comme ça.
    Double compte ? Non =)


Dernière édition par Sylvia A. Dickens le Dim 20 Juil - 2:21, édité 9 fois
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Rose Emmerson
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MessageSujet: Re: [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Icon_minitimeVen 18 Juil - 22:30

Bienvenue [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" 868589
Très jolie fiche, j'espère te croiser dans le RP =)
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Sylvia A. Dickens
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MessageSujet: Re: [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Icon_minitimeDim 20 Juil - 2:22

Merci, je l'espère aussi =)

Présentation terminée Smile
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Hope Von der Wardol
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MessageSujet: Re: [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Icon_minitimeLun 21 Juil - 2:33

Bonsoir & Bienvenue jeune fille,
excusez le retard pour la validation.
Sylvia, a mon avis vous avez un Rp agréable à lire, simplet parfois mais tout de même bien écrit et sympathique à lire. Vous avez un pointe d'humour, dont je dois avouer m'avoir parfois arraché un sourire.
Je ne vois donc pas pourquoi votre fiche serait refusée, validée évidemment.
En espérant que vous vous plairez ici ^^
You can play Wink
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Sylvia A. Dickens
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MessageSujet: Re: [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Icon_minitimeLun 21 Juil - 12:03

Merci beaucoup, ça me fait très plaisir Very Happy
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[Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Vide
MessageSujet: Re: [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" [Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !" Icon_minitime

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[Sylvia Anthony Dickens] - "Pose ça là, je m'en occuperais plus tard !"

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