Lumière sur Rose Emmerson  Age (du perso) : 19
Nombre de messages : 204
Age : 32
Pêché Capital : Paresse
Date d'inscription : 18/07/2008
 |  Sujet: Rose Emmmerson *  Mer 23 Juil - 18:53 | |
| « Toutes les Roses sont belles, en revanche elles ne sont pas toutes innofensives »
Rose Emmerson, 19 ans ( soit dit en passant le meilleur âge à mon avis ), Américaine de sa nationalitée et bien déterminée a gagner.Sa présentation Ici * Sa devise du mois : « Les ans ne font rien à l'affaire, quand on est con, on est con »Pêcher capital : ParessePour ceux qui ne veulent pas se plonger dans l'étude de sa psychologie, pour faire simple Rose est une de ces filles qu'on apprécie du premier coup d'oeil, sociable souriante et presque toujours de bonne humeur. D'apparence sensible on a toujours un peu tendance à vouloir la protéger ce qui a le don de l'exaspérée. Que ceux qui doutent encore en soient convaincue sa sensibilité à fleur de peau n'est pas un frein à un caractère assez fort. Elle est déterminée et manient les sarcasmes comme les pimbêches manient leurs limes à ongles ( myriam si tu passe par là  ). Pas méchante pour un sous, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds cependant elle est toujours conciliante et réunit souvent les partis qui s'opposent. On ne croirait pas comme cela mais elle possède un sens de la compétition aiguë qu'elle sait habilement caché. Outre cela elle fait partie des personnes qui savent s'amuser. Jamais à court d'idée jamais on ne s'ennuie avec cet ouragan de bonne humeur ( sauf peut être lorsqu'elle ne veut pas sortir de son lit ... )
Description d'un point de vue externe
- Spoiler:
Je n’étais là que pour me rendre à mon boulot. Un job chiant mais bien payé qui me permettait d’offrir à ma copine un logement convenable, nourrir mon chien avec des croquette de hautes gamme et de m’offrir parfois une petite visite chez des jeunes femmes qui n’avaient pour seul but que de satisfaire ma libido. En somme j’étais là tous les jours de la semaine, toujours à la même heure pour traverser le passage piéton. Mais ce jour là restera à jamais gravé dans ma mémoire comme celui où j’ai compris ce que le mot « Beauté » voulait dire.
Ce n’était qu’un bruit parmi d’autres mais j’en ai tout de suite cherché la source. Tous mes sens étaient aux aguets pour déterminer la cause de ce bruit. « Clap, Clap » des talons hauts qui produisaient une sonorités en frappant sur le béton qui suffit à l’émouvoir sans que j’en connaisse la cause. Emplie d’une arrogance dissimulée, une fraîcheur inconnue. Jamais je n’ai cru possible qu’un bruit puisse autant me renseigner sur une personne. Tandis que mes yeux chercher avec avidité la cause de cet émoi je la vis. Impossible de me tromper. Cette silhouette qui se détachait des autres comme auréolé par une puissance divine. Elle était à quelques mètres mais j’en distinguais parfaitement les formes. Ses jambes à la galbe parfaite étaient moulée dans un pantalon qui révéler une chute de rein à la hauteur de tous les rêves de mes homologues masculins. Jamais je n’aurais crue pouvoir poser mes yeux sur de telles merveilles, on aurait pu les croire sculpter par une entité mythologique. Mais son buste aussi, mis en valeur par un haut au décolleté sage mais pourtant si plein de promesses. Elle possédait une poitrine ronde et ferme, à la bonne taille et déjà j’étais certain que mes mains y trouveraient un refuge idéal.
Mais si l’envoûtement s’arrêtait là … Seulement puisque Dame Nature fait les choses bien, Elle n’a pas juste doté cette jeune femme d’une beauté exquise mais également d’une présence et d’un charisme que jamais il n’avait connu même en jetant des regards rapides aux revues de charmes où aux défilés dont sa copine était raide dingue. Mais maintenant qu’elle n’était plus qu’à deux mètres de lui, il en était convaincu, il ne pourrait détourner son regard. Son visage était tout en harmonie et chaque détail ne travaillait qu’à sublimer davantage la jeune fille. Elle avait une bouche rose pulpeuse et parfaitement galbé où j’aurai voulue poser les miennes mais si je pu m’en empêcher ce n’est par un excellent contrôle de moi-même – je l’ai perdue depuis que j’ai croisé l’ébauche de sa silhouette – mais c’est parce qu’elle émet tant de retenue, de pudeur candide qu’on attribue aux enfants que je n’ai pas voulue la brusquer. Mais, déjà mes yeux quittent sa bouche aussi délicieuse soit-elle pour remonter vers ses pommettes hautes et saillantes comme un lègue de la haute aristocratie et, à cet instant même je ne doute pas qu’elle y appartient. Son nez est fin, petit et discret un peu comme l’idéal que toutes les stars Hollywoodienne tente de recréer grâce à un tour chez le chirurgien, mais personne n’arrive à la perfection naturel que j’ai en fasse de moi. Elle n’est plus qu’à un mètre et déjà de mes sens exacerbés je sens son parfum suave, une touche de vanille, une odeur de fleurs, le piquant d’une rose et la fraîcheur d’un printemps. Mais ce détail n’était rien parce qu’au même moment, j’ai croisée son regard.
Jamais je n’ai connue d’intensité pareille. Ses deux pupilles immobiles, emplies de sentiments mêlés tels que la crainte, la curiosité, l’étonnement et l’insouciance. J’ai ressentit trop de sentiments en même temps que j’aurais voulue que cet instant dure indépendamment des limites temporelles. Mais, un être tel que moi ne peut contrecarrer l’œuvre du temps et, l’instant d’après les deux émeraude déclencheurs de ma sensibilité à fleurs de peau n’étaient plus qu’un souvenirs. Je me suis retournée pour la suivre du regard puisque aucun de mes muscles n’acceptait de fonctionner. Je m’abreuver immodérément de cette vision qui restait certainement unique jusqu’à ce que sa silhouette ne fût plus qu’une tâche trouble qui dansaient au milieu des passants mornes. Elle m’a laissé là, m’a charmer par sa démarche, m’a enchanter par un regard, puis est partit sans prend conscience qu’elle avait remis en cause tout ce auquel je croyais.
Elle à changer ma vie par un simple passage et je ne suis pour elle qu’un énième admirateur qui à jamais restera secret
Lucy E. Martins
Lucy est une fille adorable avec Rose et malgré leur relation
tout récente, elle passe de bon moment avec elle et espère
qu'au fil du temps ça n'ira que mieux. Leur caractère se
ressemble tellement qu'elle a l'impression de la connaitre vraiment
Chace Stanford
Chace est une sorte de grand frère pour Rose, il
a tendance à la surprotéger mais au final ce n'est
pas si désagréable qu'elle le prétend, ou peut être que
si. Mais elle apprécie vraiment Chace et passerait des
journées entière avec lui
Riley Lewis
J'en est plus que marre qu'elle me materne, elle pourrait être
gentille si seulement elle avait quelque chose dans la tête.
Je ne comprend pas comment elle fait pour passer les test d'entrées
Je doute également que la Black Society ait besoin d'une femme
en manque d'enfant à sa tête. Elle m'horripile
Sereana Mckee
J'aimerais bien la rencontrer et parler avec elle, Serena semble
être une fille très agréable et intelligente et je ne comprend
pas pourquoi elle me fuis. Du moins j'en ait la désagréable impression.
Elle n'a pas l'air décidé a faire connaissance avec moi
David Elliot Klein
Je cherche encore le moyen de te prouver que je suis grande.
Arrête de me prendre pour une petite fille sans défense, je t'aime bien
mais cette manie que tu as de me surprotéger m'agace. Chace est bien suffisant
pour cela . Tu veux pas jouer un autre rôle ? |
|
Accueil 
